Au cours d’un voyage familial classique dans les montagnes du Colorado, le garçon autiste de la famille récupère des pierres indiennes sacrées et les colle dans son sac à dos jusqu’à ce que plein de choses assez désagréables arrivent.
Cultes
Deux pillards de tombe et une archéologue affiliés à l’armée des États-Unis trouvent une momie égyptienne au beau milieu d’un champ de bataille en Irak, avant de rapatrier le tout en Angleterre où ont récemment été découverts d’autres artefacts antiques permettant à la redoutable momie de revenir à la vie et semer la destruction ou autres choses déplaisantes. Oui, je sais, ça ne ressemble à rien comme scénario, mais j’avoue avoir regardé le film d’un œil un peu distrait aussi.
Dans une petite bourgade paisible et bourgeoise néo-zélandaise, un groupe de metal amateur s’essaye à la reprise façon rock d’une antique partition invoquant les démons. La suite ? Zombies, démembrements, éventrations, tripailles et autres joyeusetés. La Nouvelle-Zélande, quoi.
Un groupe de gens inconnus les uns des autres se réveillent dans un immeuble claquemuré et sans sortie apparente. S’ils essayent au début de survivre ensemble, ils réalisent vite que le lieu a pour but de les mettre face à leur culpabilité, et peut-être face à leur rédemption.
Il ne faut pas trop lui en vouloir, au Vatican : il est tellement occupé à recueillir des milliers d’heures de vidéos pour s’armer contre la naissance de l’Antéchrist qu’il a à peine le temps de s’occuper de ses prêtres pédophiles. Et là, en l’occurrence, c’est le cas d’Angela qui le préoccupe tout particulièrement. Surtout quand elle parle en araméen et devient la meilleure amie des corbeaux de son quartier.
Journaliste musical, Myles Clarkson est reçu par le grand mais vieillissant pianiste Duncan Ely pour une interview. Fasciné par les mains de Myles, le talentueux interprète de la Méphisto-Valse de Liszt devient son ami et l’intègre à son cercle de gens fortunés et excentriques. Au grand désespoir de l’épouse de Myles, qui n’apprécie pas ce petit monde, et déteste particulièrement la fille de Duncan.
Philippe de Montfaucon, châtelain plein aux as et heureux père de famille, apprend qu’il doit quitter sa vie parisienne pour revenir sur ses terres de Bellenac, où son bon peuple l’attend avec impatience. Sa manière de dire au revoir à ses enfants ainsi qu’à sa femme incite cette dernière à le rejoindre, malgré ses injonctions. Elle découvrira que la France profonde des années 60 n’est pas aussi catholique que De Gaulle voulait bien le penser.
Bouh le diable est méchant il veut posséder la jeune fille mais la jeune fille lutte et des gens veulent l’aider mais n’y arrivent pas et à la fin le méchant diable il gagne et la jeune fille est possédée.
La grand-mère de George est aussi sa meilleure amie, jusqu’à ce qu’elle fasse une syncope et développe tous les signes de la possession démoniaque. Mais bon, il faut s’occuper d’elle tout de même, parce que la famille c’est sacré et tout le tralala…
Ainsi que le veut une énième prophétie cachée quelque part dans l’Apocalypse de Saint-Jean (qu’il faut lire à l’envers d’ailleurs, puisque l’on apprend que le chiffre de la Bête n’est pas 666 mais 999), monsieur Satan a entre 23 heures et minuit le 31 décembre 1999 pour s’accoupler avec une certaine bonne femme et permettre ainsi son règne sur la Terre. Et après, il se trouve des gens pour prétendre que les formalités administratives de la CAF sont compliquées.