En creusant là où il ne fallait pas creuser, des types délivrent des créatures ailées qu’ils n’auraient pas du délivrer. Aveugles, les espèces de ptérodactyles miniatures attaquent sans merci tout ce qui fait du bruit, et précipitent l’humanité dans le chaos, à l’exception de la famille d’une jeune fille sourde. Car c’est bien connu, les sourds ne font pas de bruit.
C’est bien connu, si vous allez trop profond dans l’océan, vous allez ramener un mégalodon avec vous. Du coup on se demande vraiment pourquoi Jason Statham et toutes ces autres personnes beaucoup trop belles pour être océanologues sont surpris comme cela. Toujours est-il qu’une fois le mégalodon en liberté, et même dans des eaux territoriales, il va falloir s’en débarrasser. Pour cela, une seule solution : y aller à quatre, et si possible à mains nues.
Alors qu’un drôle de phénomène visuel invisible pousse la quasi-totalité de l’humanité au suicide, quelques survivants parviennent à se réfugier dans une maison et à subsister tant bien que mal jusqu’à ce qu’il ne reste plus, en fin de compte, que Sandra Bullock et deux enfants nés le même jour, contraints de descendre des rapides avec un bandeau sur les yeux dans l’espoir de rejoindre un incertain havre de paix. Et ça, les amis, ça mériterait en soi d’être une discipline olympique.
Trois jeunes gens habitués aux petits larcins décident de frapper un grand coup en cambriolant la maison d’un vétéran de l’armée aveugle plein aux as après avoir obtenu perçu une forte somme d’argent en compensation de la mort accidentelle de son enfant. Et comme ce sont trois jeunes gens dans un film d’horreur, ils vont évidemment en prendre plein la gueule jusqu’à mourir dans d’atroces souffrances.
Envoyés dans l’espace pour tester un bidule-truc-chouette censé fournir de l’énergie illimitée à une planète bleue au bord de l’extinction des feux, une équipe d’astronautes se retrouvent coincés dans une dimension parallèle à la leur et particulièrement retorse au demeurant. Malgré les efforts du destin pour les bousiller les uns après les autres, nos héros vont tout faire pour rejoindre leur univers, ignorant que d’étranges catastrophes mettent la Terre à feu et à sang.
Dans une réserve naturelle conçue pour conserver les espèces animales en danger d’extinction, un virus indéterminé se propage et transforme les animaux en monstres horribles bien décidés à bouffer les stagiaires et la proprio du lieu. Ce qu’ils arrivent à faire avec aisance, puisque les humains qui leur font face sont cons comme leurs pieds.
Lorsque la fusée qu’il a envoyé dans l’espace avec trois astronautes à bord retombe pile en Angleterre, le docteur Bernard Quatermass se dit que tout de même, c’est du bol qu’elle ne soit pas allée se carapater dans les Bahamas. Mais lorsqu’il comprend que le seul survivant de l’équipage est habité par une forme de vie extraterrestre susceptible de détruire l’humanité toute entière, il se dit probablement en son for intérieur qu’il aurait mieux fait d’étudier la géologie.
Après avoir vécu un épisode de leur carrière de medium plutôt traumatisant dans la maison d’Amityville, les époux Warren partent se détendre à Londres en portant secours à une famille hantée par l’esprit d’un vieil acariâtre qui voudrait bien qu’on le laisse regarder la télé tranquille.
Trois jeunes filles se font enlever puis séquestrer par un bonhomme atteint d’un vingt-quadruplement de personnalité, ce qui fait tout de même beaucoup pour un seul cerveau. À force de tentatives d’évasions ou de manipulations ratées, la plus solide des trois adolescentes finit par réaliser l’étendue de la menace qui plane au dessus d’elle.