En prévision de la « conquête » de Mars voulue par Obama, une entreprise soumet quatre candidats astronautes à une expérience extrême : les enfermer durant quatre-cents jours dans un habitacle similaire à une navette spatiale pour étudier leur résistance physique et psychologique. Avec à la clé, si personne ne craque, un billet pour les étoiles.
Science-fiction
Des diplodocus, des tricératops, des tyrannosaures, des ptérodactyles, des raptors, d’autres dont je n’avais jamais entendu parler avant, et un tout nouveau dinosaure génétiquement modifié en prime. Le tout dans un parc d’attraction comptant vingt mille visiteurs par jour, et la loi de Murphy stipulant que le pire est toujours ce qui finit par arriver. Évidemment, personne ne veut y croire. À Fukushima non plus, on n’y croyait pas.
Quaid n’est pas Quaid. Quaid est Hauser, à qui l’on a implanté une nouvelle mémoire pour le détourner de son activité de révolutionnaire souhaitant la libération de Mars, planète dominée par un magnat de l’oxygène qui impose sa loi au peuple des mutants vivant dans les bas-fonds. Mais après un passage chez Rekall, entreprise spécialisée dans l’implantation de faux souvenirs touristiques, les verrous de la manipulation dont Hauser/Quaid a été victime sautent et l’ancien agent secret se voit contraint de reprendre du service. Le mot d’ordre ? « Get your ass to Mars ! »