Deux pillards de tombe et une archéologue affiliés à l’armée des États-Unis trouvent une momie égyptienne au beau milieu d’un champ de bataille en Irak, avant de rapatrier le tout en Angleterre où ont récemment été découverts d’autres artefacts antiques permettant à la redoutable momie de revenir à la vie et semer la destruction ou autres choses déplaisantes. Oui, je sais, ça ne ressemble à rien comme scénario, mais j’avoue avoir regardé le film d’un œil un peu distrait aussi.
Mythes
Parce qu’il veut immortaliser tous les bons souvenirs de son couple, un jeune homme filme son voyage de noces, l’annonce de la grossesse de son épouse, sa première échographie, ses malaises, ses crises d’hystérie, la secte sataniste qui les prend en chasse et tout le tralala.
Un groupe de gens inconnus les uns des autres se réveillent dans un immeuble claquemuré et sans sortie apparente. S’ils essayent au début de survivre ensemble, ils réalisent vite que le lieu a pour but de les mettre face à leur culpabilité, et peut-être face à leur rédemption.
Quand des étudiants en archéologie décident de partir à la recherche d’un temple oublié, ils prennent pour guide une sorcière maléfique, ce qui n’est évidemment pas une bonne idée. S’ensuivra une série de meurtres tous moins intéressants les uns que les autres, jusqu’à un final dont tout le monde se fiche.
Journaliste musical, Myles Clarkson est reçu par le grand mais vieillissant pianiste Duncan Ely pour une interview. Fasciné par les mains de Myles, le talentueux interprète de la Méphisto-Valse de Liszt devient son ami et l’intègre à son cercle de gens fortunés et excentriques. Au grand désespoir de l’épouse de Myles, qui n’apprécie pas ce petit monde, et déteste particulièrement la fille de Duncan.
Gnagnagnère échappe à un terrible accident avec ses compagnons et tralalère la mort les pourchasse les uns après les autres et patati patata et sérieusement si depuis le temps vous ne connaissez pas le concept d’un Destination Finale, c’est que ce n’est pas susceptible de vous intéresser.
Un conte d’horreur de Noël ? Quatre en réalité, tous en lien avec la paisible bourgade canadienne de Bailey Towns. Entre les ados coincés dans le sous-sol hanté de leur lycée, la famille qui accueille dans son foyer ce qu’elle ignore être un troll, l’autre famille traquée par Krampus, l’esprit mauvais de Noël, et le Père Noël en personne qui subit l’attaque de ses lutins infectés par un mal démoniaque, chacun comprendra que le 24 décembre au soir, ce n’est pas fête pour tout le monde.
Archéologues de père en fille, suivis de près par deux documentaristes, Nora et Holden sont à l’origine de la découverte d’une pyramide égyptienne d’un genre totalement inédit, et travaillent sur son site de fouilles tandis qu’au loin, Le Caire frôle la guerre civile. Lorsque le gouvernement américain leur ordonne de plier bagage, ils ne peuvent s’empêcher d’aller jeter un oeil à l’intérieur de cette pyramide. Et vont découvrir qu’elle est beaucoup plus ancienne qu’ils ne le pensaient.
L’avantage des Destination Finale, c’est que ça commence toujours pareil. Des jeunes qui échappent à un horrible accident – ici durant une course automobile – grâce à la miraculeuse prémonition de l’un d’eux, et qui se rendent compte ensuite que la mort les prend en chasse pour les tuer, les uns après les autres, dans l’ordre où ils étaient censés mourir en premier lieu.