Après avoir survécu au massacre par des zombies de son expédition scientifique, une jeune femme accepte de retourner sur les lieux pour accompagner une équipe paramilitaire chargée par une entreprise d’aller retrouver la trace d’une autre équipe ne donnant plus signe de vie. En somme, pour résumer, on envoie une équipe se faire massacrer pour porter secours à une autre équipe qui s’est faite massacrer après qu’une première équipe se soit également faite massacrer. À ce rythme, la courbe du chômage sera inversée dans les six mois.
Zombies
Une équipe de professeurs de collège aux profils pour le moins singuliers tentent de survivre à une forme inconnue de la grippe aviaire qui transforme leurs élèves prépubères en zombies avides de dévorer de la chair humaine.
L’un vit avec son chien, l’autre avec sa fille. Deux « voisins » dans un Nord des États-Unis où la neige ne semble jamais fondre. Survivants d’une apocalypse zombie, ignorant tout de la situation dans le reste du monde, étrangement épargnés par les créatures qui ne leur rendent jamais visite, mais partageant un passé fait de culpabilité et de rancune qui a fini par les transformer en inconnus hostiles.
Le requin, cette redoutable machine à tuer, sans conscience ni remords. Et le zombie, cette redoutable machine à tuer aussi, sans conscience ni remords non plus. Les deux ensemble revient donc à faire d’une machine à tuer sans conscience ni remords une autre machine à tuer sans conscience ni remords. Bref, dès le départ, c’est complètement foiré cette histoire.
Il était une fois [REC], véritable miracle de l’industrie du cinéma espagnol, qui venait donner un monumental coup de fouet au film de genre européen. Puis il y eut [REC] 2, nettement moins bon mais que j’avais pris le parti d’aimer quand même, parce qu’il était la suite d’un chef-d’oeuvre que je révère. Et puis il y a [REC] au cube la Genèse. Et vous savez le pire ? Il en reste encore un quatrième, et je vais quand même me sentir obligé de le regarder.
Lorsque plus aucun espoir ne reste de retrouver la jolie mais portée disparue Wendy, sa famille choisit d’organiser des funérailles avec un cercueil vide, au grand désespoir de son petit ami Brian mais peut-être encore plus de Patrick, l’amoureux transi mais discret de la jeune femme. Débute un été lourd de tristesse et de chagrin, qui prendra une direction inattendue quand le frère jumeau de Patrick, étrangement prénommé Carol et qui ne lui ressemble pas du tout, découvrira Wendy, morte et zombifiée, attachée entre deux arbres dans les bois.
Je n’ai encore jamais parlé de séries sur ce blog, ni dans sa version WordPress ni dans sa version Over-Blog. Et pourtant j’en mange des séries, et même des quantités astronomiques. Alors je me suis dit que j’allais honteusement profiter d’avoir fini de regarder la cinquième saison de The Walking Dead pour me fendre d’une petite opinion sur la chose. D’autant qu’elle ne cesse de me faire grincer des dents.
Après avoir méchamment touché le continent africain, le virus Ebola inconnu transformant les gens en zombies anthropophages fait son apparition en Inde et sème le chaos en quelques heures. Technicien américain chargé de la maintenance du parc éolien du pays, Nicholas va parcourir le pays pour retrouver sa petite amie, séquestrée par son croyant de père qui garde sa porte close, sauf pour regarder de temps en temps des gens se faire manger devant lui en le suppliant de l’aider. On a les loisirs qu’on peut.