Infectés – Caligari http://caligari.fr Wed, 28 Sep 2016 23:15:52 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.8.4 90213575 Cell Phone (2016) de Tod Williams http://caligari.fr/2016/09/29/cell-phone-2016-de-tod-williams/ http://caligari.fr/2016/09/29/cell-phone-2016-de-tod-williams/#respond Wed, 28 Sep 2016 23:15:52 +0000 http://caligari.fr/?p=679 Après qu’une impulsion électrique ait converti en fous furieux tous ceux qui tenaient leur téléphone à l’oreille, quelques rescapés épars tentent de survivre et de comprendre quelque chose au merdier qu’est devenu le monde, sans Candy Crush ou Pokemon Go. Cell est tiré de Cellulaire, un roman de Stephen King qui date de 2006, peu […]

L’article Cell Phone (2016) de Tod Williams est apparu en premier sur Caligari.

]]>
cell

Après qu’une impulsion électrique ait converti en fous furieux tous ceux qui tenaient leur téléphone à l’oreille, quelques rescapés épars tentent de survivre et de comprendre quelque chose au merdier qu’est devenu le monde, sans Candy Crush ou Pokemon Go.

Cell est tiré de Cellulaire, un roman de Stephen King qui date de 2006, peu ou prou l’année où je l’ai lu. Autant dire que l’adaptation s’est faite attendre, ce qui est d’autant plus étrange que le principe même du bouquin se prête fort bien au grand écran d’aujourd’hui : un road-movie avec des zombies (ou assimilés), que demander de plus ? — Je me souviens d’ailleurs avoir bien aimé cette lecture, et j’avais plutôt hâte de voir ce que cela donnait en film. Surtout avec Samuel L. Jackson au générique.

Au final ? Du bon et du moins bon. Disons que Cell rend plutôt hommage aux aspects les plus marquants de la littérature de King, autrement dit ses galeries de personnages déglingos et la faculté qu’ils ont de se mettre à faire n’importe quoi au moment où l’on s’y attend le moins. King ne s’est jamais rien refusé de ce côté-là, et c’est précisément ce qui donne à ses romans un cachet de vraisemblance. De nombreux auteurs devraient prendre exemple sur lui, plutôt que de dessiner les mêmes archétypes à longueur de journées.

Le côté initiatique, pour ne pas dire mystique, du voyage des protagonistes s’inscrit également dans la droite ligne de King, même si pour le coup elle est pas mal survolée, et donne de temps en temps lieu à des passages franchement confus, ou difficilement lisibles. La fin, tout particulièrement, m’a laissé perplexe. Ce n’est pas non plus 2001, mais on se demande un peu de quoi il retourne exactement.

Mais ce n’est pas le plus grave. Finalement, et c’est assez dommage, Cell est surtout très plan-plan. Certes sa scène d’introduction hystérique à souhait – avec tout de même un vigile dévorant les entrailles d’un chien vivant qui se laisse faire en couinant juste un peu, c’est beau la fidélité canine – est plutôt réussie, mais on reste tout de même en face de quelque chose de vu et revu. Tout le film se trimballe dans une atmosphère, et une image, Walking Dead en diable. On est en terrain connu, avec parfois l’impression d’avoir simplement déjà vu le film.

Et puis je ne voudrais pas sembler mauvaise langue, mais John Cusack n’étant pas un sommet d’expressivité, sa présence au générique dans le rôle principal laisse un goût amer. En même temps, c’est lui qui a produit le film, donc on peut comprendre qu’il se soit offert le haut de l’affiche, mais à aucun moment je n’ai vraiment réussi à le trouver totalement crédible dans son rôle. C’est très personnel, je sais. Mais c’est comme Tom Cruise ou Nicholas Cage, il y a des acteurs comme ça que je n’arrive à blairer qu’une fois sur dix.

Bref, regardable sans être surprenant, convenu mais pas raté pour autant, Cell ne change ni les règles ni les codes mais permet de passer une heure trente de sa vie devant autre chose que son téléphone, ce qui est certainement une bonne chose.

Sur ce, je vous laisse.

L’article Cell Phone (2016) de Tod Williams est apparu en premier sur Caligari.

]]>
http://caligari.fr/2016/09/29/cell-phone-2016-de-tod-williams/feed/ 0 679
The Dead Outside (2008) de Kerry Anne Mullaney http://caligari.fr/2016/07/15/the-dead-outside-2008-de-kerry-anne-mullaney/ http://caligari.fr/2016/07/15/the-dead-outside-2008-de-kerry-anne-mullaney/#respond Thu, 14 Jul 2016 22:51:10 +0000 http://caligari.fr/?p=527 Dans une Grande-Bretagne ravagée par une épidémie de folie meurtrière, April et Daniel tentent de survivre en paix dans une petite maison isolée mais n’y arrivent pas. Outre le fait que ce film pompe allègrement du côté de 28 jours plus tard, tout en affichant une réalisation prétentieuse et une narration brouillonne et sans saveur, […]

L’article The Dead Outside (2008) de Kerry Anne Mullaney est apparu en premier sur Caligari.

]]>
The Dead Outside

Dans une Grande-Bretagne ravagée par une épidémie de folie meurtrière, April et Daniel tentent de survivre en paix dans une petite maison isolée mais n’y arrivent pas.

Outre le fait que ce film pompe allègrement du côté de 28 jours plus tard, tout en affichant une réalisation prétentieuse et une narration brouillonne et sans saveur, il convient de noter qu’il est en prime terriblement chiant. L’actrice principale joue très mal, aussi. Ne m’en veuillez pas de ne pas mieux développer, ce n’est pas que j’en veuille aux Anglais pour le Brexit, c’est surtout que je n’ai pas envie ce soir de disserter des heures sur un film de merde.

Sur ce, je vous laisse.

L’article The Dead Outside (2008) de Kerry Anne Mullaney est apparu en premier sur Caligari.

]]>
http://caligari.fr/2016/07/15/the-dead-outside-2008-de-kerry-anne-mullaney/feed/ 0 527
Cooties (2014) de Jonathan Milott et Cary Murnion http://caligari.fr/2016/01/06/cooties-2014-de-jonathan-milott-et-cary-murnion/ http://caligari.fr/2016/01/06/cooties-2014-de-jonathan-milott-et-cary-murnion/#respond Wed, 06 Jan 2016 15:17:04 +0000 http://caligari.fr/?p=310 Une équipe de professeurs de collège aux profils pour le moins singuliers tentent de survivre à une forme inconnue de la grippe aviaire qui transforme leurs élèves prépubères en zombies avides de dévorer de la chair humaine. Malgré sa forme et son casting résolument humoristique – on retrouvera avec bonheur l’inénarrable Rainn Wilson ou le […]

L’article Cooties (2014) de Jonathan Milott et Cary Murnion est apparu en premier sur Caligari.

]]>
Cooties

Une équipe de professeurs de collège aux profils pour le moins singuliers tentent de survivre à une forme inconnue de la grippe aviaire qui transforme leurs élèves prépubères en zombies avides de dévorer de la chair humaine.

Malgré sa forme et son casting résolument humoristique – on retrouvera avec bonheur l’inénarrable Rainn Wilson ou le formidable Jack McBrayer – qui le font lorgner du côté d’un Shaun Of The Dead, Cooties s’autorise des manquements à la bienséance tout à fait réjouissants en proposant des personnages d’enfants tueurs. Et tués.

Ils ne sont pas légion, les films osant mettre en scène des enfants cruels, violents, ou sadiques. Autrement dit, des films qui osent dire la vérité sur nos chères têtes blondes, plutôt que de les représenter comme d’inoffensives créatures rêvant de trains électriques ou de gentils dinosaures. Il suffit de stationner deux minutes dans une cour d’école pour se rendre compte que les enfants sont diaboliques. Le fait seul qu’il ne leur pousse pas des cornes est une preuve de la véracité des théories darwiniennes.

Mais revenons à nos moutons. Parmi les films qui mettent en scène des enfants assassins, zombies ou non, on peut citer le Dawn Of The Dead de Romero, mais la scène est au final aussi emblématique qu’anecdotique. On pourrait citer aussi le bébé zombie dans son excellent remake, L’Armée des morts, mais c’est encore moins marquant.

On peut également mentionner le fait que la série Walking Dead ne manque pas d’enfants zombies, ou rappeler à votre mémoire des Children Of The Corn, pourquoi pas Le Village des damnés, La Mauvaise graine, et même l’improbable série Z Attention ! Enfants, une production de la Troma qui se conclut sur un massacre d’enfants tellement peu crédible que c’en est jouissif.

Et puis je suis tout de même obligé de parler du film ¿ Quién puede matar a un niño ? (sorti en France sous le titre improbable des Révoltés de l’an 2000), oeuvre choc du cinéma espagnol narrant les exploits d’enfants se mettant à assassiner, pour des raisons obscures, tous les adultes qui se présentent devant eux. Je ne l’évoque pas par hasard : c’est finalement avec cette réalisation de Narciso Ibáñez Serrador que Cooties a le plus de points communs.

On y retrouve ce même mélange entre sauvagerie et innocence, où les massacres les plus affreux se font avec des rires enfantins ou sous la forme de jeux tout ce qu’il y a de plus enfantins. Si Cooties, je le répète, se présente avant tout comme un film humoristique, il n’en demeure pas moins dérangeant sinon éprouvant au cours de certaines scènes où se réalisent cette alchimie contre-nature, tellement rare au cinéma.

Mais bon, je m’en voudrais de vous décourager de le regarder : si vous êtes adultes et vaccinés, vous ne serez pas non plus traumatisés. On attend juste de vous un certain goût pour le nawak, pour le gore un tantinet grand-guignol, et pour les personnages déjantés. Si ça vous ressemble, il semble difficile que vous puissiez passer autre chose qu’un bon moment devant ce film d’horreur qui joue sur tous les clichés, servis par des dialogues percutants et des interprètes talentueux et motivés.

J’ignore pourquoi le film est tellement mal noté sur IMDB, en tout cas. Rainn Wilson est fabuleux, et méconnaissable pour ceux qui le connaissent grâce à The Office ou par sa prestation hallucinante dans le chef-d’oeuvre qu’est Super. Elijah Wood campe à merveille un écrivain raté contraint de se transformer en héros, et Alison Pill crève l’écran dans son personnage de jeune prof dont le sourire semble toujours frôler la crise de nerfs. Le reste de la bande est excellent aussi, je le répète, c’est du tout bon.

Bien écrit, mordant et satirique, bien réalisé, peut-être moins original dans son déroulement que dans son propos mais sachant réserver quelques (petites) surprises, Cooties est sans conteste mon premier coup de coeur de l’année. Le film est aussi drôle qu’intelligent, aussi dégueu que réfléchi, et l’on en sort avec un grand sourire, même s’il est trois heures du matin et que l’on sait qu’on n’aura pas l’occasion de faire la grasse matinée.

Sur ce, je vous laisse.

L’article Cooties (2014) de Jonathan Milott et Cary Murnion est apparu en premier sur Caligari.

]]>
http://caligari.fr/2016/01/06/cooties-2014-de-jonathan-milott-et-cary-murnion/feed/ 0 310
[REC]³ Génesis (2012) de Paco Plaza http://caligari.fr/2015/09/10/rec%c2%b3-genesis-2012-de-paco-plaza/ http://caligari.fr/2015/09/10/rec%c2%b3-genesis-2012-de-paco-plaza/#comments Thu, 10 Sep 2015 19:35:00 +0000 http://caligari.fr/?p=178 Il était une fois [REC], véritable miracle de l’industrie du cinéma espagnol, qui venait donner un monumental coup de fouet au film de genre européen. Puis il y eut [REC] 2, nettement moins bon mais que j’avais pris le parti d’aimer quand même, parce qu’il était la suite d’un chef-d’oeuvre que je révère. Et puis […]

L’article [REC]³ Génesis (2012) de Paco Plaza est apparu en premier sur Caligari.

]]>
rec_3_by_royaleta-d5uitnr

Il était une fois [REC], véritable miracle de l’industrie du cinéma espagnol, qui venait donner un monumental coup de fouet au film de genre européen. Puis il y eut [REC] 2, nettement moins bon mais que j’avais pris le parti d’aimer quand même, parce qu’il était la suite d’un chef-d’oeuvre que je révère. Et puis il y a [REC] au cube la Genèse. Et vous savez le pire ? Il en reste encore un quatrième, et je vais quand même me sentir obligé de le regarder.

[REC] 3 Génesis – et je m’excuse par avance de ne pas faire l’exposant ³ à chaque fois pour le titre, mais ça me gonfle – est-il vraiment la suite des deux premiers [REC] ? Ça dépend de quel point de vue on se place. On peut considérer qu’un enfant est toujours le fils de celui qui l’a reconnu à la mairie, quand bien même il a les mêmes oreilles et le même nez que le facteur. Mais personne ne sera vraiment dupe.

Après une introduction magistrale totalement ratée et chiante à souhait en found-footage dans un mariage, le film abandonne la caméra embarquée pour revenir à un mode de réalisation et de narration plus classique. Ce n’est pas forcément une mauvaise idée : le found-footage commence à devenir lassant, surtout quand il s’obstine à désamorcer ses propres paradoxes. Vous savez, avec ces personnages qui s’écrient « arrête de filmer ! » ou « lâche ta caméra ! » pour rendre plus crédible le fait qu’un type continue à filmer pendant que sa mère se fait bouffer par un alligator zombie. Ici, on pourrait presque suspecter une part de parodie du genre. C’est même totalement le souci du film.

[REC] 3 ne trouve JAMAIS son ton. Il démarre comme un film de zombie totalement lambda, il s’offre des incartades qui font penser à Left 4 Dead (le jeu vidéo, pour les incultes et les gens qui ont une vie sociale), il nous gratifie de quelques scènes larmoyantes, d’autres volontiers gores – et franchement réussies – vers la fin, le tout entrecoupé de passages dont on se demande parfois s’ils sont volontairement ou non humoristiques. Avant de se conclure en déchirement amoureux, dans un final qui est probablement le plus beau moment du film.

Alors je ne sais pas, je suis peut-être totalement passé à côté des intentions du réalisateur, mais je n’ai pas réussi à déterminer s’il s’agissait d’un truc à prendre au premier degré ou d’un machin à prendre au second. Dans les deux cas, c’est bancal. Et dans les deux cas, cela s’articule sur un scénario d’une désarmante pauvreté et d’une linéarité sans pareille, qui peut se décrire selon le schéma suivant : un nouveau personnage, il meurt, puis un autre et il meurt, puis un autre et il meurt, et ceci ad libitum ou presque.

Alors une fois n’est pas coutume, je vais vous proposer des captures d’écran du film. C’est encore la meilleure manière d’illustrer le genre de délire auquel Paco Plaza nous convie. En revanche, je vous épargne sa bande-son composée de la pire pop espagnole qu’il m’ait jamais été donné l’occasion d’entendre, ce qui confirme mon idée selon laquelle [REC] 3 est avant tout une comédie qui ne s’est pas assumée jusqu’au bout. En somme, un pastiche inabouti, qui accouche au final d’une réalisation franchement bizarre, plutôt ratée mais trouvant encore le moyen de se montrer distrayante par moments.

03

Bienvenue dans l’univers des Visiteurs ! Ah non, c’est [REC] ? Au temps pour moi…

04

Pour info, le running gag, c’est que le type s’appelle John L’Éponge et non Bob L’Éponge, à cause d’une question de droits. C’est qu’on sait rire, en Espagne !

02

Pourquoi est-ce je pense tellement fort à Luc Besson ?

01

Ça, c’est de la contre-plongée héroïque !

05

Ah, la bonne vieille ambiance gentiment graveleuse des comédies friponnes à l’italienne !

Sur ce, je vous laisse ! Et si vous trouvez que c’est un peu radical d’utiliser une tronçonneuse pour découper une robe de mariée, c’est vraiment que vous tenez trop à vos jambes. Ou plutôt, pardon, que vosotros tenemos mucho troppo a sus gambas !

L’article [REC]³ Génesis (2012) de Paco Plaza est apparu en premier sur Caligari.

]]>
http://caligari.fr/2015/09/10/rec%c2%b3-genesis-2012-de-paco-plaza/feed/ 1 178
Open Grave (2013) de Gonzalo López-Gallego http://caligari.fr/2015/06/04/open-grave-2013-de-gonzalo-lopez-gallego/ http://caligari.fr/2015/06/04/open-grave-2013-de-gonzalo-lopez-gallego/#respond Thu, 04 Jun 2015 21:26:02 +0000 http://caligari.fr/?p=118 Totalement amnésique, un homme se réveille au milieu de dizaines de cadavres dans un charnier à ciel ouvert. Après qu’une mystérieuse femme l’ait aidé à en sortir, il se retrouve nez à nez avec d’autres personnages tout aussi amnésiques que lui. Méfiants les uns envers les autres, ils vont tâcher de faire équipe pour comprendre […]

L’article Open Grave (2013) de Gonzalo López-Gallego est apparu en premier sur Caligari.

]]>
open-grave-2013-movie-poster

Totalement amnésique, un homme se réveille au milieu de dizaines de cadavres dans un charnier à ciel ouvert. Après qu’une mystérieuse femme l’ait aidé à en sortir, il se retrouve nez à nez avec d’autres personnages tout aussi amnésiques que lui. Méfiants les uns envers les autres, ils vont tâcher de faire équipe pour comprendre ce qui leur est arrivé, et vont découvrir qu’ils évoluent dans un monde aussi horrible que dangereux.

Open Grave, c’est le genre parfait de film sur lequel il est horriblement casse-gueule de faire un article, puisque l’on prend le risque de spoiler à chaque phrase. L’équilibre et l’intérêt du film reposant entièrement sur la quête d’identité et de souvenirs des personnages, la moindre remarque peut constituer un indice. Et les indices, dans le cas présent, c’est mal.

Une chose est à souligner : l’argument d’Open Grave est enthousiasmant. Nous mettre en face de protagonistes qui se connaissent – ils le sentent – sans parvenir à se reconnaître, et ne cessent de se demander s’ils appartiennent à la catégorie des victimes, des fous ou des bourreaux, est particulièrement déstabilisant et maintient en éveil. Et cela encore plus lorsque l’histoire vient s’enrichir de nouveaux éléments aussi malsains qu’intrigants.

Évidemment, c’est un exercice assez casse-gueule. À mesure que les souvenirs reviennent à la surface, il faut les faire percevoir au spectateur sans rentrer dans la pirouette du monologue intérieur ou du dialogue ultra-explicatif qui donnerait au film une allure par trop didactique. Open Grave y arrive à peu près, du moins jusqu’au coup de la lettre à la fin qui tombe franchement dans l’abus.

Bon j’en ai déjà trop dit, je ne vais pas plus loin. Sachez juste que nous en sommes en présence d’un bon film, dynamique et plutôt prenant, qui réserve de jolies surprises et jouit d’une ambiance tout ce qu’il y a de plus réussie. Si vous avez envie de regarder quelque chose qui sort un peu de l’ordinaire, au moins dans sa construction, regardez Open Grave. Autrement, regardez TF1.

Sur ce, je vous laisse.

L’article Open Grave (2013) de Gonzalo López-Gallego est apparu en premier sur Caligari.

]]>
http://caligari.fr/2015/06/04/open-grave-2013-de-gonzalo-lopez-gallego/feed/ 0 118