Zsa Zsa Gabor amputée : une histoire bouleversante
Zsa Zsa Gabor découvre avec stupeur avoir été amputée de la jambe droite seulement 18 mois après l’opération. La reine de la mondanité hollywoodienne, célèbre depuis les années 1950, a été amputée au-dessus du genou à cause d’une infection sévère et d’une mauvaise circulation sanguine.
Comment Zsa Zsa a-t-elle découvert qu’elle n’avait plus de jambe ?
Ironie du sort : l’actrice ne s’est rendue compte de l’amputation que lorsqu’elle a tenté de se relever et a constaté que sa jambe droite manquait. Impossible pour elle de détecter l’opération avant cela. Son mari, Prince Frederic von Anhalt, lui a caché la vérité pour la protéger. Elle ne pouvait pas sentir ou voir la jambe car une main est paralysée et l’autre trop courte. Une situation étrange, voire surréaliste.
“Il y a quelque chose qui manque”, lui a-t-elle confié dans l’horreur.
Pourquoi cette amputation ? L’état de santé de Zsa Zsa Gabor
Tout commence avec une série de problèmes de santé. En 2002, un accident de voiture laisse Zsa Zsa partiellement paralysée. En 2010, une chute violente en tentant de décrocher le téléphone aggrave son état. Elle est confiné au fauteuil roulant et en perte d’autonomie.
En janvier 2017, les médecins découvrent une infection grave au niveau de la jambe droite. Les traitements antibiotiques échouent, et l’amputation devient inévitable pour sauver sa vie.
- Amputation au-dessus du genou de sa jambe droite due à une infection gangréneuse.
- Circulation sanguine très mauvaise, plaies ulcérées.
- Hospitalisation prolongée, suivie d’un retour à la maison.
La lutte continue : risque d’une seconde amputation
Malheureusement, ce n’est pas la fin des ennuis. Les médecins évoquent bientôt la nécessité d’amputer la jambe gauche, victime du même problème circulatoire. On parle d’une chance sur deux pour Zsa Zsa de vivre une autre année sans subir cette opération.
Même si la star refuse catégoriquement cette idée, son état s’aggrave et elle doit de nouveau être hospitalisée pour un arrêt brutal du flux sanguin dans la jambe gauche.
Une célébrité fragilisée et gardée dans l’ombre
Le mari protecteur de Zsa Zsa cache sa condition la plus dure, la maintient dans l’ignorance de nombreux détails : l’amputation, la nourriture par tube, la mort d’une amie proche. Il refuse de lui annoncer les mauvaises nouvelles, craignant de briser l’image glamour qu’elle a toujours incarnée.
Cette stratégie soulève des questions sérieuses sur la transparence et l’autonomie de la diva dans ses derniers instants.
Conséquences financières et personnalité publique
Les frais médicaux s’accumulent. Le couple met en vente une propriété de 30 millions de dollars à Bel Air. Plusieurs manteaux de fourrure, symboles du style inimitable de Zsa Zsa, partent aux enchères pour régler les dettes.
Zsa Zsa Gabor est restée une figure mythique du glamour et de la jet-set, rarement éclipsée par des soucis personnels. Elle est connue pour ses phrases cultes comme :
- “Je suis une excellente femme de ménage. Chaque fois que je quitte un homme, je garde sa maison.”
Mais derrière ce vernis de légèreté, sa fin de vie est marquée par la douleur, la dépendance, les batailles familiales et médicales.
Points clés à retenir
- Zsa Zsa Gabor a subi une amputation au-dessus du genou de la jambe droite suite à une infection et mauvaise circulation.
- Elle n’a découvert cette perte qu’après 18 mois, protégée de la vérité par son mari.
- Son état de santé est sévère, avec un risque sérieux d’amputer aussi la jambe gauche.
- Le couple fait face à d’importantes dépenses médicales, vendant biens précieux.
- Zsa Zsa reste une icône malgré des dernières années difficiles, à la fois protégée et isolée.
Zsa Zsa Gabor amputée : quand la légende découvre avec retard une réalité brutale
Oui, la célèbre Zsa Zsa Gabor a bien subi une amputation de la jambe droite. Mieux vaut tard que jamais : elle l’a réalisé… dix-huit mois après l’intervention ! On imagine sa surprise en tentant de s’asseoir et en constatant que sa jambe avait disparu. Comment cela est-il possible ? Refusons l’idée d’un miracle hollywoodien. La vérité est, hélas, plus complexe et triste.
Zsa Zsa Gabor, cette actrice hongroise emblématique et icône des années 50, a traversé une décennie de problèmes de santé lourds. Accident de voiture, chute, AVC ont marqué son parcours médical. En janvier de l’année précédente, une infection sévère, on ne parle pas ici d’un simple rhume mais d’une gangrène extrêmement grave, a contraint les médecins à amputer sa jambe droite, juste au-dessus du genou. Sa mauvaise circulation sanguine et les antibiotiques inefficaces ont précipité cette décision de survie, prise à l’UCLA Medical Center à Los Angeles.
Un choc soigneusement tenu secret
On pourrait penser que Zsa Zsa a été immédiatement informée de sa nouvelle condition. Eh bien non. Son époux, le prince Frederic von Anhalt, a préféré cacher cette réalité pour la protéger. Imaginez : à 95 ans, fragile, semi-consciente, paralysée d’une main, son autre main trop courte pour atteindre, elle n’a pas envisagé tout de suite que sa jambe manquait. Le sentiment de perte lui a été révélé non par les médecins, mais par son propre regard quasiment 18 mois après l’opération.
Le prince von Anhalt assume ce secret avec une honnêteté brutale : il a aussi choisi de la tenir dans l’ignorance totale de son alimentation, réalisée par sonde. Pourquoi ? « Elle est tellement coquette, tellement glamour… lui annoncer de mauvaises nouvelles ne ferait qu’augmenter son mal-être. » Il va même jusqu’à ne pas lui révéler le décès de son amie célèbre, Phyllis Diller, le mois dernier. Cruel ? Peut-être. Mais il s’agit d’une stratégie pour ménager une star qui a toujours cultivé son image éclatante.
Un passé médical compliqué
Depuis au moins dix ans, la santé de Zsa Zsa Gabor est sur une pente descendante. En 2002, un grave accident de voiture laisse des séquelles. Trois ans plus tard, un AVC la paralyse partiellement, la contraignant à utiliser un fauteuil roulant. En 2010, une chute de son lit suite à un appel téléphonique aggrave son état, causant une fracture de la hanche. Ce serait une succession d’épreuves qui semble inexorable.
Conséquence directe : ces accidents et pathologies multiples l’ont rendue dépendante et alitée dans sa somptueuse demeure de Los Angeles. Entre les crises, les hospitalisations et traitements, la condition de la star déclinait lentement mais sûrement.
La menace d’une deuxième amputation
Le pronostic est malheureusement sombre. Après avoir perdu la jambe droite, l’état de la jambe gauche empire également. Les médecins évoquent l’amputation comme seule solution pour stopper l’infection et pallier la mauvaise circulation sanguine. Sans chirurgie, Zsa Zsa aurait “une chance sur deux de survivre un an,” selon les équipes médicales.
Ce n’est pourtant pas l’avis de la comédienne : malgré son état fragile, elle refuse une nouvelle intervention. Ce refus peut apparaître presque héroïque, ou du moins humain, à l’heure où la star semble en lutte désespérée face à la fatalité.
Les répercussions sur sa vie et son entourage
Comment gérer une telle situation, financièrement et émotionnellement ? Les coûts des soins accumulés pèsent lourdement. Le couple a dû mettre en vente leur propriété à Bel Air, estimée à près de 30 millions de dollars. Le mari annonce la mise aux enchères de manteaux de fourrure d’une valeur d’environ 600 000 dollars. Un luxe extravagant aujourd’hui converti en nécessité vitale.
Au-delà des finances, c’est aussi la cellule familiale qui s’en trouve affectée. Un différend juridique oppose désormais le prince Frederic von Anhalt à la fille de Zsa Zsa, Constance Francesca Hilton, à propos de la tutelle de la star. Ce combat souligne combien la gestion des célébrités âgées bouleverse parfois les dynamiques privées.
Zsa Zsa Gabor : une star au destin paradoxal
Connue pour ses punchlines et son style flamboyant, la grande mondaine a toujours fait preuve d’un certain panache. Sa célèbre remarque « Je suis une ménagère merveilleuse. Chaque fois que je quitte un homme, je garde sa maison » témoigne d’un humour mêlé de malice, signature de sa personnalité unique.
Au cinéma, sa carrière est marquée par des films comme Lovely to Look At. Pourtant, derrière ce glamour intact, la réalité de la maladie et de la vieillesse a fini par la rattraper. L’amputation, cette étape douloureuse et difficile, est devenue un chapitre oublié par elle-même mais bien réel pour ceux qui prennent soin d’elle.
En conclusion : Que nous apprend cette histoire ?
Le cas de Zsa Zsa Gabor, amputée et découvrant avec retard sa nouvelle condition, invite à réfléchir sur notre rapport à la vieillesse, à la maladie et à la vérité. Jusqu’où la protection peut-elle aller sans devenir un enfermement dans l’ignorance ? Et comment mesurer la dignité et l’autonomie d’une personne quand son corps lui échappe ?
Cette histoire va bien au-delà du simple fait divers médical. Elle montre que même les icônes, les symboles de la beauté et de la vie mondaine, sont parfois confrontées à la fragilité la plus banale. Le contraste est saisissant, presque cruel, et pourtant profondément humain.
Ne serait-il pas temps d’ouvrir le dialogue sur la vieillesse des célébrités, souvent cachée, parfois taboue ? Zsa Zsa Gabor, même amputée, continue d’incarner une vie pleine de contradictions : celle d’une star qui surprend, même dans la douleur.
Quand Zsa Zsa Gabor a-t-elle réalisé qu’elle avait été amputée ?
Elle a découvert qu’elle avait perdu sa jambe droite 18 mois après l’amputation, en tentant de se redresser.
Quelles sont les causes de l’amputation de sa jambe droite ?
Une infection grave et une mauvaise circulation sanguine ont obligé les médecins à amputer sa jambe au-dessus du genou en janvier.
Pourquoi Zsa Zsa Gabor n’a-t-elle pas été informée de son état ?
Son mari a caché la vérité pour ne pas la bouleverser, estimant qu’elle ne devait pas souffrir de mauvaises nouvelles.
Y a-t-il un risque d’amputation pour sa jambe gauche ?
Oui, les médecins craignent que sa jambe gauche soit aussi amputée à cause de complications similaires.
Comment est l’état de santé général de Zsa Zsa Gabor après l’amputation ?
Elle est semi-consciente, ne reconnaît pas son entourage et reste alitée dans sa maison à Los Angeles.
