Tina Kieffer enfants : une famille, un engagement, une histoire
Tina Kieffer est mère de cinq enfants, parmi eux une petite fille adoptée au Cambodge, Chandara, rebaptisée Théa, qui a profondément changé sa vie et son parcours. Ce lien familial a nourri un engagement fort auprès des jeunes filles cambodgiennes.
Combien d’enfants pour Tina Kieffer ?
- Cinq enfants au total.
- Deux avec François Bing, psychiatre, son premier mari.
- Deux avec Stéphane Brasca, journaliste, son ex-mari depuis 2008.
- Une cinquième enfant adoptée en 2006, une fille cambodgienne nommée Chandara (Théa).
Tina Kieffer est donc la maman de Barbara, Benjamin, Matis, Carla, et Théa. Sa famille a également suivi ses aventures, notamment lors de leur séjour au Cambodge.
L’adoption de Chandara : une rencontre bouleversante
En 2004, lors d’une visite familiale dans un orphelinat de Phnom Penh, Tina aperçoit Chandara, seule et en pleurs. Séduite par son regard, elle la prend dans ses bras, tissant un lien immédiat.
Ce moment d’émotion a déclenché une demande d’adoption que Tina a préparée dès son retour en France. Après plusieurs mois d’attente, Chandara rejoint sa nouvelle famille et devient Théa.
Cette adoption, bien que difficile, a amorcé un tournant profond dans la vie de Tina Kieffer. Elle quitte son poste à Marie Claire pour s’investir pleinement dans ce nouveau rôle de mère et dans un projet humanitaire au Cambodge.
Une vie de famille engagée
Vivant deux ans au Cambodge avec ses enfants et son compagnon chirurgien, Tina souhaite ouvrir une école pour filles dans ce pays. Projet ambitieux, elle fonde ainsi Happy Chandara, qui apporte une éducation à des milliers de jeunes filles cambodgiennes.
- Le soutien de grandes personnalités comme Claire Chazal et Monica Bellucci a permis de financer ce rêve.
- Tina démissionne pour se consacrer à ce projet et à sa famille.
- Son compagnon Gérard Babatasi, chirurgien cardiaque, travaille aussi avec l’ONG La Chaîne de l’Espoir.
Engagement au-delà de la famille
Tina Kieffer ne s’arrête pas là. En 2006, elle lance l’opération La rose de Marie Claire pour la scolarisation des petites filles dans le monde. Elle crée également l’association Toutes à l’école, dont elle est présidente-fondatrice.
Son engagement se traduit par une mobilisation sans faille en faveur de l’éducation des filles, en mettant à profit son expérience de mère et sa notoriété.
Un parcours personnel et familial unique
Année | Événement |
---|---|
2004 | Rencontre avec Chandara au Cambodge |
2006 | Adoption de Chandara (Théa) |
2006 | Lancement de l’opération La rose de Marie Claire |
2008 | Divorce avec Stéphane Brasca |
2009 | Vie au Cambodge avec famille et compagnon |
Tina Kieffer est née en 1959 à Cannes. Fille d’un publicitaire, elle a fait toute sa carrière dans la presse avant de tourner une page pour vivre sa passion humanitaire auprès de ses enfants et du Cambodge.
En bref : ce qu’il faut retenir de Tina Kieffer et ses enfants
- Maman de cinq enfants, dont une adoptée au Cambodge.
- Adoption née d’une rencontre poignante dans un orphelinat à Phnom Penh en 2004.
- Elle quitte sa carrière pour fonder une école à destination des filles cambodgiennes.
- Son compagnon, Gérard Babatasi, est chirurgien et lié à La Chaîne de l’Espoir.
- Initiatrice d’actions pour la scolarisation des filles au niveau mondial.
Tina Kieffer enfants : Une histoire d’amour, d’engagement et de famille recomposée
Qui sont les enfants de Tina Kieffer ? Tina Kieffer est la maman de cinq enfants, un joli clan où se mêlent histoires et origines variées. Deux de ses enfants sont nés de son mariage avec François Bing, un psychiatre, deux autres sont issus de son union passée avec le journaliste Stéphane Brasca. Et puis il y a Théa, née Chandara au Cambodge, adoptée en 2006, et qui est au cœur d’une aventure à la fois personnelle et humaine extraordinaire.
Vous vous demandez peut-être comment cette famille unique s’est construite ? C’est tout simplement une histoire forte, entre liens du sang et coups de cœur. Mais la vie de Tina ne s’arrête pas là, car au-delà de son rôle de mère, elle a fait le choix bouleversant de tout changer pour défendre une cause capitale : l’éducation des filles défavorisées.
Une visite qui change tout : la rencontre avec Chandara
En 2004, Tina Kieffer, alors figure incontournable du journalisme français, accompagne son mari et ses enfants lors d’une visite à un orphelinat à Phnom Penh. C’était juste une visite, une bonne action parmi d’autres. Sauf que le destin s’est manifesté sous la forme d’une petite fille, Chandara, seule près du potager, le visage baigné de larmes. Un moment intense qui a bouleversé la journaliste.
Certains diraient que c’est le coup de foudre, d’autres un appel du cœur. Toujours est-il que Tina ne peut s’empêcher de prendre cette enfant dans ses bras et, avant de repartir à Paris, elle promet de revenir la chercher. Son mari et ses quatre enfants accueillent cette idée avec enthousiasme. Évidemment, cela voudrait dire agrandir la famille déjà nombreuse.
Adopter Chandara : un parcours semé d’émotions
Le chemin vers l’adoption n’a pas toujours été simple. Dès son retour, Tina entame les démarches administratives avec patience et détermination. Elle doit jongler entre les impératifs légaux et ses responsabilités familiales. Mais la volonté la pousse à bout, et après plusieurs mois d’attente, Chandara rejoint enfin sa nouvelle famille en France, rebaptisée Théa.
Cette adoption est plus qu’un simple changement de domicile : c’est un répit, un amour, une nouvelle chance pour une petite fille qui en avait bien besoin. En 2006, Toni et sa famille accueillent officiellement Théa, leur nouvelle petite sœur. Cela fait de la tribu cinq enfants reliés par des liens si divers, mais tous unis par l’affection.
Une mère engagée : quitter le confort pour agir
Pour beaucoup, la vie de Tina était celle dont on rêve : carrière brillante, famille nombreuse et stabilité. Mais l’arrivée de Théa va tout faire basculer. Tina réalise que la vraie richesse est ailleurs. Elle décide alors de démissionner de son poste prestigieux de directrice chez « Marie Claire » pour partir vivre deux ans au Cambodge.
Cette décision ne surprend pas tant elle est fidèle aux valeurs de Tina. Elle vit cette nouvelle vie au rythme de ses enfants, de son compagnon chirurgien engagé auprès de l’association « La Chaîne de l’Espoir ». Toute la famille s’immerge dans cette réalité cambodgienne, découvrant les défis et les espoirs locaux en matière d’éducation et de soins.
L’éducation, un combat à cœur ouvert
Sur place, Tina ne s’arrête pas à son rôle de mère. Elle fonde « Happy Chandara », une école dédiée aux filles cambodgiennes. Un projet audacieux, car créer et financer une structure dans un pays étranger demande une énergie immense et beaucoup de persévérance. Heureusement, la générosité et la célébrité lui viennent en aide. Des personnalités comme Claire Chazal, Monica Bellucci, Isabelle Adjani ou encore Anne-Claire Coudray soutiennent cette cause.
Ce soutien permet de changer la vie de milliers de filles. Grâce à cette école, elles bénéficient d’une scolarisation parfois inaccessible autrement, leur ouvrant des perspectives nouvelles. Tina n’est plus seulement une maman, mais une mère de cœur pour des milliers de jeunes filles qui croisent son chemin au Cambodge.
Une famille recomposée et un engagement indéfectible
Tina Kieffer, mère de cinq enfants : Barbara, Benjamin, Matis, Carla et Théa. Une famille où chaque enfant a son histoire propre. Certains partagent le même sang, d’autres, comme Théa, sont liés par un choix d’amour. Depuis 2009, elle partage sa vie avec Gérard Babatasi, chirurgien cardiaque et vice-président de l’ONG « La Chaîne de l’Espoir ». Ensemble, ils forment un couple au service de l’humanitaire.
Dans ce contexte, Tina ne cesse de multiplier ses actions. Elle est la présidente et fondatrice de l’association « Toutes à l’école » qui lutte pour la scolarisation des petites filles précaires partout dans le monde. Son engagement dépasse largement les frontières personnelles pour toucher une dimension universelle qui inspire.
La leçon de Tina Kieffer pour nous tous
Alors, que retenir de cette histoire ? Que la famille n’est pas qu’une question de sang. Que parfois, un regard, une larme, un enfant seul peuvent changer une vie entière. Tina Kieffer a mis sa carrière de côté pour se consacrer à ses enfants et donner un avenir à des milliers d’autres filles. Une démarche qui remet en perspective ce qui est vraiment important.
Sa vie montre aussi que l’on peut conjuguer réussite professionnelle et engagement humanitaire. Certes, cela demande des sacrifices, mais aussi une passion profonde pour l’autre. Tina incarne ce mélange rare, inspirant. À travers son parcours, elle lance un message clair : offrir une éducation est un des plus beaux cadeaux que l’on puisse faire.
Questions à méditer
- Comment nous, à notre petite échelle, pouvons-nous contribuer à l’éducation des enfants défavorisés ?
- Qu’est-ce qui nous pousse vraiment à changer radicalement de vie comme Tina l’a fait ?
- La famille, c’est avant tout l’amour. Êtes-vous prêts à ouvrir votre cœur, comme elle l’a fait ?
Tina Kieffer et ses enfants incarnent un bel exemple de courage et d’humanité. Son histoire invite à réfléchir sur nos propres priorités et sur la manière dont chacun peut agir pour un monde plus juste et plus doux.
Combien d’enfants Tina Kieffer a-t-elle et qui sont-ils ?
Tina Kieffer a cinq enfants. Deux sont issus de son mariage avec François Bing, deux autres de son union avec Stéphane Brasca, et elle a adopté une fille cambodgienne, Chandara, en 2006.
Quelle est l’histoire de l’adoption de la fille de Tina Kieffer ?
En 2004, Tina a rencontré Chandara dans un orphelinat au Cambodge. Touchée par elle, elle a lancé rapidement une procédure d’adoption et a accueilli Chandara, rebaptisée Théa, dans sa famille en France en 2006.
Pourquoi Tina Kieffer a-t-elle quitté son travail pour s’occuper de ses enfants ?
L’arrivée de Théa a changé ses priorités. Elle a voulu s’investir pleinement dans sa famille et les enfants cambodgiens, ouvrant une école pour filles au Cambodge tout en vivant deux ans là-bas avec sa famille.
Quel engagement Tina Kieffer a-t-elle en faveur de l’éducation des enfants ?
Elle a fondé l’école Happy Chandara au Cambodge et préside l’association Toutes à l’école, dédiée à la scolarisation des petites filles, soutenue par plusieurs personnalités françaises.
Comment la famille de Tina Kieffer a-t-elle réagi à l’adoption de Chandara ?
Son mari et ses quatre autres enfants ont accueilli la nouvelle avec enthousiasme. Toute la famille a soutenu le projet dès le départ, facilitant ainsi l’intégration de Théa à leur vie.