Yasmine Oughlis et ses enfants : une grande tribu à gérer
Yasmine Oughlis a une famille recomposée comptant six enfants, avec deux enfants biologiques et quatre beaux-enfants âgés de 6 à 22 ans. Mère de deux garçons et belle-mère de trois garçons et une fille, elle partage sa vie avec son mari Jacques et jongle chaque jour avec une organisation complexe.
Une famille recomposée de six enfants
- Deux enfants biologiques, garçons, âgés de 5 et 8 ans.
- Quatre beaux-enfants : trois garçons et une fille, entre 14 et 22 ans.
- Une vie à huit, où les âges et les besoins varient énormément.
Dans une interview récente à Télé 7 Jours, Yasmine évoque cette “sacrée tribu” qu’elle gère avec humour et honnêteté.
Le défi d’être belle-mère
Devenir belle-mère n’est pas une mince affaire. Yasmine le décrit comme un « rôle dégueulasse » tant les attentes sont lourdes. Elle insiste : « Il faut arrêter d’attendre des belles-mères qu’elles soient des mères-bis ! »
Elle s’est adoptée mutuellement avec ses beaux-enfants, établissant un équilibre fragile mais sincère. Son secret ? Prévoir, anticiper, et surtout, savoir prendre du temps pour soi.
Elle explique que les bons liens se construisent sans se substituer à la mère biologique. Face aux comportements des adolescents, elle reste ferme, appelle un chat un chat, et partage les difficultés sans tabou.
Organisation au quotidien : quand jongler devient art
Gérer une grande famille demande une organisation intense. Yasmine a connu un emploi du temps flexible, avec peu de tournages, ce qui l’a aidée. Elle souligne que la gestion dépasse largement les courses ou les repas : « Il y a les activités, les devoirs, les lessives, les trajets, les vacances, le coût… »
Elle partage les tâches avec son mari, même si parfois elle doit le lui rappeler. Elle reconnaît aussi l’importance d’accepter que, parfois, son fils de cinq ans prenne des poses improbables sur les photos.
Passer d’une ambiance à quatre à une vie à huit est surtout un rythme qu’elle maîtrise maintenant après plus de dix ans. L’entrée dans l’adolescence de ses beaux-enfants a représenté un nouveau challenge.
La charge mentale, toujours à déséquilibrer
Yasmine avoue ne pas avoir reçu un bon modèle parental sur la répartition des tâches. La charge mentale lui semble souvent rester une affaire féminine.
Elle souligne que « s’occuper des enfants, c’est un travail à temps plein » et que le partage doit être effectif, même si son mari intervient. Certains détails, comme connaître les tailles de chaussures de tous, restent à son actif.
Le burn-out parental : une réalité pour Yasmine
Elle révèle avoir traversé un burn-out parental au moment où son deuxième enfant avait 5 mois et demi.
Ce burn-out est survenu au confinement, où elle gérait tout seule la maison et débutait une émancipation professionnelle. Le déclic : elle devait aussi penser à elle et cesser de culpabiliser.
Conseils précieux pour familles recomposées
- Anticiper et prévoir les choses aide à mieux les vivre.
- Écouter ses besoins personnels est essentiel.
- Laisser le partenaire s’investir à sa manière, même en son absence.
- Prendre du temps pour soi ne nuit pas à la famille.
Relations avec ses enfants
Maman enveloppante mais rigide, Yasmine est la « gendarme » de la maison, limitant les jeux vidéo à 30 minutes pour les petits, uniquement le week-end.
Son mari, plus détendu, offre un contrepoids. Sur les réseaux sociaux, elle protège l’image de ses enfants en postant peu, en gardant leur anonymat.
Une carrière enrichie par la vie familiale
Chroniqueuse aux Maternelles depuis septembre 2021, Yasmine utilise son expérience pour conseiller les parents et dédramatiser les situations complexes.
Son engagement personnel apporte un regard neuf aux thématiques de l’enfance sur France 2.
« J’ai rencontré un mari, mais aussi un père. Cette rencontre a facilité l’adoption mutuelle avec ses enfants. »
Points clés à retenir
- Yasmine Oughlis a une grande famille recomposée de 6 enfants, âgés de 6 à 22 ans.
- Devenir belle-mère est un rôle compliqué, sans être une mère-bis.
- L’organisation et le partage des tâches sont essentiels, mais la charge mentale reste souvent à la mère.
- Le burn-out parental fait partie des réalités, même pour une femme active comme Yasmine.
- Prendre soin de soi contribue à un équilibre familial durable.
- Yasmine protège l’image de ses enfants sur les réseaux sociaux.
- Son expérience personnelle nourrit son travail à « Les Maternelles », offrant des conseils pragmatiques aux parents.
Yasmine Oughlis enfants : plongez dans l’univers d’une famille recomposée XXL
Comment gérer une tribu de six enfants entre 6 et 20 ans ? Voilà la question qui agite souvent l’esprit de Yasmine Oughlis. Mais loin d’être intimidée, la chroniqueuse de “La Maison des Maternelles” invite à découvrir son quotidien, riche en défis familiaux et en histoires cocasses.
Yasmine Oughlis est maman de deux garçons et belle-mère de quatre enfants — trois garçons et une fille. En couple avec Jacques, elle gère une mosaïque de jeunes âgés de 6 à 20 ans. Une vraie chasse au trésor pour organiser repas, activités et mood des ados !
Une grande famille recomposée : gestion et ambiance
Imaginez une maison avec huit âmes, cinq garçons et une fille en mode turbo adolescence. Yasmine partage avec humour et franchise les rouages de cette organisation. “Mes enfants savent que mes beaux-enfants sont là à partir du jeudi soir. Ça fait maintenant partie de leur vie,” confie-t-elle.
Passer d’un mode “4 personnes” à “8 personnes à la maison”, c’est comme changer de rythme dans une série TV sans script. Mais après plus de 10 ans, le casting tient bon. Cette tribu ne manque jamais d’anecdotes, ni de love, même si l’équilibre est toujours précaire. “Je dois lâcher du lest, par exemple accepter que mon fils de 5 ans fasse le signe de Jul sur les photos,” avoue-t-elle en riant.
Le rôle complexe mais passionnant de belle-mère
Être belle-mère, c’est un rôle “dégueulasse”, le dit Yasmine sans détour. Pourquoi ? Parce qu’on attend souvent qu’elle soit une “mère bis”. Pourtant, elle forge sa propre relation avec ses beaux-enfants, dont les liens sont très sains, sans masquer les réelles difficultés.
“J’appelle un chat un chat : quand leur comportement déraille, je leur dis. Je leur explique que leurs mots peuvent nous toucher.” Cette franchise est clé dans ce drôle de métier d’équilibriste émotionnel. Loin des clichés, Yasmine rappelle que la parentalité recomposée est “une aventure compliquée mais belle, différente.”
Organisation et burn-out : le vrai visage d’une maman au travail
Alors, comment s’organise-t-elle avec six enfants ? Au début, Yasmine jonglait avec un emploi du temps chargé, entre journées de tournage et travail à domicile. Ses beaux-enfants restaient à la maison un week-end sur deux. Cette “organisation comme on pouvait” a fonctionné, jusqu’au jour où la charge devenait trop lourde.
“Je me suis oubliée en chemin” — le discours est clair. À 5 mois et demi de son deuxième enfant, Yasmine a connu un burn-out parental, amplifié par le confinement de 2020 et la surenchère d’activités à la maison. “Je culpabilisais même quand je prenais du temps pour moi,” avoue-t-elle.
La solution ? Faire appel à une baby-sitter et apprendre à lâcher prise. “Aujourd’hui, mon mari et moi, on se répartit les courses, les repas. Je veille à ce qu’il fasse aussi sa part.” Prendre du recul, prévoir en avance, anticiper… ce sont ses clés pour tenir cette grande famille.
La charge mentale, un combat encore d’actualité
Yasmine ne cache pas que la charge mentale reste surtout portée par les femmes, même si la conversation sur cette inégalité évolue doucement. “Mon père ne s’impliquait pas, ça n’aide pas à réinventer le schéma familial.”
Elle défend cependant l’idée que, peu importe que la mère travaille ou non, “on est deux à faire des enfants, donc la charge doit être partagée.” Et franchement, qui a envie d’être la seule à savoir la taille des chaussures des enfants ou qu’il faut racheter des culottes ?
Un style de parenting doux mais strict
Chez Yasmine, la discipline a son mot à dire. Elle se décrit comme une maman enveloppante mais rigide, la fameuse “gendarme de la maison”. Jeux vidéo limités, chacun dans sa chambre, pas plus de 30 minutes pour les petits et uniquement en week-end. Le mari, lui, est plutôt “cool”.
Une gestion qui colle parfaitement à son objectif : veiller au bien-être de tous dans cette joyeuse pagaille qui rythme leur vie.
Comment la vie de maman influence sa carrière
Fort heureusement, son travail dans “La Maison des Maternelles” sur France 2 lui permet d’allier vie pro et vie perso. Yasmine partage souvent des conseils pour mieux comprendre les adolescents, puisant dans son quotidien.
“L’émission m’a aidée à apaiser certaines situations chez moi”, confie-t-elle. Ce lien entre expérience personnelle et professionnelle est un vrai atout pour capter les questions des familles modernes, recomposées ou non.
Un confinement pas si zen, mais riche en apprentissages
Le Covid a eu aussi son impact. Au début, Yasmine et son mari ont contracté le virus. Ils n’ont pas pu accueillir les grands enfants quinze jours durant. Puis, direction la Normandie pour éviter l’enfermement total.
“Ce n’était pas la famille zen, c’était la mère hystérique,” plaisante-t-elle. Gérer un petit en CP qui apprend à lire, un plus petit qui veut jouer à l’école et la tension du confinement, ça fait beaucoup.
Mais une vérité s’est imposée : les enfants s’adaptent bien, mieux que beaucoup d’adultes on dirait.
Les conseils précieux de Yasmine pour les familles recomposées
- Anticiper et prévoir pour mieux vivre le quotidien.
- S’écouter soi-même pour identifier ses besoins de belle-mère.
- Laisser le conjoint prendre sa place et partager le temps avec ses enfants sans forcément impliquer la belle-mère.
- Prendre aussi du temps pour soi, car ça profite à toute la famille.
Ces conseils incarnent un message essentiel : une famille recomposée, ce n’est pas un puzzle facile. Mais avec du dialogue et un peu d’humour, c’est possible.
Alors, que retenir des enfants de Yasmine Oughlis ?
Yasmine Oughlis gère un univers familial riche et complexe, où six enfants, répartis entre ses propres fils et ses beaux-enfants, cohabitent en bonne entente malgré les défis inhérents à la vie recomposée. Son honnêteté sur ses réussites et ses difficultés rend son témoignage précieux pour d’autres familles dans la même situation.
Son parcours nous rappelle que l’amour ne suffit pas toujours. Il faut aussi une organisation solide, la reconnaissance de la charge mentale, et surtout, être capable de prendre soin de soi pour prendre soin des autres.
Et vous, auriez-vous le courage de naviguer jour après jour dans une maison avec six enfants, entre crises d’ados et batailles pour les repas ? Si oui, peut-être que les astuces de Yasmine pourraient vous inspirer.
“Être mère, belle-mère et épouse, ce n’est pas gérer tout, c’est savoir quand lâcher prise et se recentrer.” Yasmine Oughlis.
Combien d’enfants composent la famille de Yasmine Oughlis ?
La famille recomposée de Yasmine Oughlis compte six enfants. Elle a deux garçons et quatre beaux-enfants, dont trois garçons et une fille, âgés de 6 à 22 ans.
Comment Yasmine Oughlis gère-t-elle la vie avec ses beaux-enfants ?
Elle a adopté une approche honnête et directe. Elle établit des règles claires et lutte contre l’idée que les belles-mères doivent remplacer les mères biologiques.
Quels sont les défis organisationnels dans cette grande famille ?
La gestion implique courses, devoirs, activités, trajets et coûts. Yasmine et son mari répartissent les tâches pour éviter la surcharge, mais l’organisation reste très complexe.
Comment Yasmine voit-elle la répartition de la charge mentale ?
La charge mentale reste majoritairement féminine. Elle admet ne pas avoir eu de bon modèle familial et continue de chercher un équilibre dans son foyer.
Quel impact a eu son travail sur sa gestion familiale ?
Travailler dans l’émission ‘Les Maternelles’ lui a offert des ressources et du soutien pour mieux gérer les situations et apaiser les tensions au sein de la famille.