Bon Scott cause décès : que s’est-il vraiment passé ?
Bon Scott, chanteur d’AC/DC, est mort d’une asphyxie causée par ses propres vomissements après une sévère intoxication alcoolique, le 19 février 1980 à Londres. Cette cause officielle cache un mystère qui intrigue encore les fans et historiens du rock.
La nuit fatidique et le contexte
Le chanteur, âgé de 33 ans, vient de passer une soirée très arrosée avec des membres du groupe TRUST. L’alcool coule à flot, et la fête bat son plein. Bon Scott est en studio à Londres depuis le 15 février avec les frères Young, ses compagnons d’AC/DC. Cette période aurait dû marquer une ascension majeure pour le groupe.
Mais cette nuit-là, un homme nommé Alistair Kinnear entre en scène. C’est lui qui accompagne Bon Scott après la fête. Scott s’endort – ou s’évanouit – dans la voiture de Kinnear. Celui-ci tente de le ramener chez lui, mais au lieu de cela, finit par garer la voiture devant son propre appartement, incapable de réveiller ou de déplacer Scott.
La cause officielle du décès : intoxication alcoolique
- L’autopsie a révélé que Bon Scott est mort d’une intoxication alcoolique aiguë.
- Il s’est étouffé avec ses propres vomissements en dormant.
- Le certificat de décès le mentionne comme « décès par mésaventure ».
- Pas de drogue détectée le soir-même selon Alistair Kinnear, mais la suspicion plane autour de l’héroïne utilisée parfois dans le milieu rock.
Ce genre d’accident est bien connu. Une consommation excessive d’alcool peut entraîner une perte de réflexes qui empêche de se redresser après un vomissement. Bon Scott a payé ce risque au prix fort.
Les circonstances étranges de la nuit
Alistair Kinnear découvre Scott inerte dans la voiture le lendemain soir vers 19h30. Il appelle de suite l’hôpital, mais le chanteur est déjà mort.
Scott est trouvé enroulé autour du levier de vitesse, avec une plaque dentaire déplacée et le cou tordu, détails révélés par Clinton Walker. La scène est peu banale, laissant planer des questions.
Qui est Alistair Kinnear ? Un mystère persistant
Le nom d’Alistair Kinnear suscite bien des interrogations. Certains affirment qu’il est un pseudonyme, peut-être pour protéger l’identité réelle d’un musicien ou d’un journaliste rock.
Clinton Walker, auteur de la biographie Bon Scott: Highway to Hell (1994), va jusqu’à qualifier cet intrigant personnage de « JFK du rock », évoquant un secret entourant la mort du chanteur.
En 2005, le magazine Classic Rock relance le débat. Kinnear se manifeste, mais il ne dévoile aucune information nouvelle.
Témoignage d’Alistair Kinnear
« Bon [Scott] et moi avons tous deux beaucoup trop bu, au bar gratuit dans les coulisses et au bar de l’étage, mais je ne l’ai pas vu prendre de drogue ce soir-là… Je l’ai recouvert d’une couverture, j’ai laissé un mot avec mon adresse et mon numéro de téléphone et je suis monté au lit en titubant. »
Vers 19h30, il retourne à la voiture et trouve Scott sans vie. Il appelle les secours. La scène est triste et glaçante.
Les zones d’ombre et les hypothèses
- La présence suspectée d’héroïne pendant la soirée n’a pas été confirmée officiellement.
- L’horloge floue sur l’heure exacte du décès.
- La gestion confuse de l’état de Scott par Kinnear.
- Les détails macabres comme le cou tordu et la plaque dentaire déplacée.
- Certains pensent que la scène pourrait cacher autre chose.
Jesse Fink résume bien ce brouillard :
« La mort de Bon Scott est sans doute à la musique rock ce que l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy est à l’histoire politique américaine. »
Que retenir ?
- Bon Scott meurt le 19 février 1980 à Londres, à 33 ans.
- Cause officielle : intoxication alcoolique aiguë, entraînant une asphyxie par vomissements.
- Alistair Kinnear, compagnon de la nuit, reste une énigme majeure.
- Nombreuses zones d’ombre alimentent les théories autour de cette mort tragique.
- La disparition de Bon Scott marque une page sombre dans l’histoire du rock.
Cette histoire mêle alcool, mystère et rock’n’roll. La vérité complète pourrait rester à jamais hors de portée. Pourtant, pour les fans et les curieux, le nom de Bon Scott résonne toujours fort.
Bon Scott cause décès : démêler le mystère de la nuit fatidique
Qu’est-ce qui a vraiment causé la mort de Bon Scott ? Le chanteur emblématique d’AC/DC est mort officiellement d’une intoxication alcoolique aiguë. Mais derrière cette cause officielle, le drame cache des zones d’ombre qui intriguent encore aujourd’hui les fans et les historiens du rock.
Si vous vous demandez ce qui s’est passé la nuit du 19 février 1980 à Londres, plongeons ensemble dans cette histoire sombre et fascinante.
Qui était Bon Scott au moment de sa mort ?
À 33 ans, Bon Scott est au sommet de sa carrière. Depuis cinq ans, il est la voix puissante et charismatique d’AC/DC, le groupe australien qui fait vibrer les scènes du monde entier. Le 15 février, il partage un studio à Londres avec les frères Young, créateurs du son AC/DC, pour peaufiner ce qui pourrait être un nouveau chapitre musical majeur.
Mais la musique s’arrête brutalement le 19 février. Cette nuit-là, après une soirée arrosée avec le groupe de hard rock français Trust, Bon Scott est retrouvé mort à l’avant d’une Renault 5, garée au 67 Overhill Road, à East Dulwich, Londres. Le choc est immense dans l’univers rock.
La cause officielle : intoxication alcoolique aiguë
Les autorités britanniques sont claires : le rapport de police indique une intoxication alcoolique aiguë. Autrement dit, une overdose d’alcool qui a conduit à une asphyxie par inhalation de son propre vomi. Oui, un cocktail fatal. L’autopsie confirme que Bon Scott s’est étouffé dans son sommeil, incapable de se réveiller ou de changer de position pour éviter le pire.
Une intoxication insuffisante comme cause ? Pas pour le public ni pour les proches. Ce décès est classé comme « décès par mésaventure », soulignant la fatalité de cette soirée fatale.
La nuit du décès décortiquée : le rôle d’Alistair Kinnear
Ce qui secoue le plus, c’est la figure énigmatique d’Alistair Kinnear, un homme mystérieux présent toute la soirée. Les témoignages racontent que, lorsque la fête s’achève, Kinnear installe Bon Scott dans sa voiture pour le ramener chez lui. Mais Scott s’endort – ou s’évanouit. Impossible de le faire descendre. Le conducteur change alors de route pour rejoindre son propre appartement.
Devant le 67 Overhill Road, la Renault 5 s’immobilise. Bon Scott reste immobile, et Alistair laisse tout là, monte chez lui pour dormir, sore l’appelle « le JFK du rock » en référence aux théories du complot enveloppant ce décès.
Le lendemain, à la soirée, Kinnear revient à la voiture et découvre avec horreur Scott inanimé, installé au même endroit. Il le conduit immédiatement au King’s College Hospital, où les médecins prononcent le décès.
Alistair Kinnear : réalité ou ombre ?
La véritable identité d’Alistair Kinnear suscite toujours débats et fantasmes. Le biographe Clinton Walker, dans son livre publié en 1994, affirme qu’Alistair n’existe pas ! Ce serait un pseudonyme pour cacher le visage réel d’un musicien ou d’un journaliste rock. L’ombre d’un secret plane.
Pourtant, un article paru en 2005 dans Classic Rock relaie un témoignage supposé de Kinnear, qui, tout en gardant son anonymat, décrit la scène. Il dit ne pas avoir vu de drogue cette nuit-là, seulement beaucoup d’alcool de part et d’autre. Mais comment expliquer alors que Bon Scott soit resté là, inconscient, sans assistance ?
Les zones d’ombres et questionnements qui persistent
La mort de Bon Scott est un vrai casse-tête. Pourquoi l’homme qui laissait sa vie entre les mains d’un tiers a-t-il été abandonné dans une voiture ? Qui était vraiment Alistair Kinnear ? Était-ce une soirée uniquement à l’alcool, ou y avait-il aussi de l’héroïne, comme le suggèrent certains observateurs ?
Au-delà des certitudes de l’autopsie, ces questions nourrissent une atmosphère de suspicion comparable à celle entourant des mystères historiques, comme le souligne l’auteur Jesse Fink :
« La mort de Bon Scott est sans doute à la musique rock ce que l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy est à l’histoire politique américaine. »
Cette citation résume bien le sentiment général : un drame connu mais jamais totalement élucidé, qui continue à hanter les fans.
Une scène figée dans le temps
On imagine Bon Scott, enroulé autour du levier de vitesse, son cou tordu, sa plaque dentaire délogée – image racontée par Clinton Walker. Cette vision figée d’une tragédie transforme un simple accident en un souvenir gravé pour toujours dans la légende du rock.
Et ce qui rend cet épisode encore plus poignant, c’est que Bon Scott avait toute la vie devant lui. L’avenir d’AC/DC promettait des sommets. Sa mort a stoppé net cette ascension.
Que retenir alors de la cause de la mort de Bon Scott ?
La cause officielle du décès de Bon Scott est une intoxication alcoolique aiguë ayant conduit à une asphyxie par inhalation de vomi. Un accident tragique survenu après une soirée particulièrement alcoolisée à Londres, dans des circonstances qui suscitent toujours questions et débats.
Mais derrière la version officielle, se cachent des zones d’ombre : un personnage mystérieux nommé Alistair Kinnear, des soupçons d’usage de drogues et des interrogations sur les derniers moments du chanteur. Le rock n’a pas seulement perdu une voix, il a perdu un mystère.
Un héritage musical au-delà du drame
Malgré cette fin tragique, la musique de Bon Scott vit encore, portée par les tubes immortels d’AC/DC. Sa voix unique continue d’électriser les générations et rappelle ce paradoxe : un homme capable de remplir des stades, mais vulnérable à ses démons.
Alors, la prochaine fois que vous écouterez “Highway to Hell”, pensez à cet homme qui a incarné la passion rock jusqu’au bout, même si ça lui a coûté la vie.
Pourquoi cette histoire fascine toujours ?
Parce qu’elle mêle gloire, excès et mystère, ingrédients parfaits pour une légende. Et comme souvent dans le rock, la frontière entre réalité et mythe devient floue.
La mort de Bon Scott interroge sur les risques de l’excès, la fragilité des icônes et le poids des secrets. Finalement, elle nous rappelle que derrière le masque du rocker se cache un homme, avec ses faiblesses.
Et vous, que pensez-vous de cette histoire ?
Le mystère plane-t-il sur la vraie cause du décès de Bon Scott ? Ou l’intoxication alcoolique suffit-elle à expliquer cette tragédie ?
En tout cas, sa voix résonne encore, preuve que même la mort ne peut étouffer les légendes du rock.
1. Quelle est la cause officielle du décès de Bon Scott ?
La cause officielle est une intoxication alcoolique aiguë. Il s’est étouffé avec ses propres vomissements pendant son sommeil. La mort a été classée comme un accident.
2. Qui est Alistair Kinnear et quel est son rôle dans la mort de Bon Scott ?
Alistair Kinnear est l’homme qui a trouvé Bon Scott inanimé dans sa voiture. Son identité reste floue, certains pensent que c’est un pseudonyme pour cacher quelqu’un d’autre.
3. Quelles sont les circonstances exactes de la nuit où Bon Scott est mort ?
Après une nuit de forte consommation d’alcool, Bon Scott s’est endormi dans une voiture à Londres. Incapable de se réveiller, il s’est étouffé avec ses vomissements alors qu’Alistair Kinnear dormait à côté.
4. Pourquoi la mort de Bon Scott suscite-t-elle des controverses ?
Il existe des zones d’ombres sur la nuit du décès, la présence possible de drogues, et l’identité réelle d’Alistair Kinnear. Certains pensent que la version officielle ne raconte pas toute l’histoire.
5. Bon Scott a-t-il consommé d’autres substances que l’alcool cette nuit-là ?
Selon Alistair Kinnear, Bon n’a pas pris de drogue cette nuit. Mais des rumeurs évoquent la présence d’héroïne et d’autres substances dans le milieu rock de l’époque.
