Qui sont Anton et Aris Manoukian ? Une histoire de famille et de confinement
Anton et Aris Manoukian sont les deux fils du musicien André Manoukian, connus pour leur vie tranquille en Haute-Savoie et leurs parcours éloignés de la musique. Observons de plus près qui ils sont, comment ils vivent et ce qui les rend uniques.
Les bases familiales : Anton et Aris, enfants d’André Manoukian
André Manoukian est père de trois enfants : Julie, réalisatrice née en 1982, d’un premier mariage et deux garçons, Anton et Aris, qu’il a eus avec sa femme Stéphanie. Anton est né en 2000, Aris en 2002. Malgré l’héritage musical de leur père, aucun des deux garçons n’a pris le chemin de la musique.
La famille s’est installée en Haute-Savoie, près du Mont-Blanc, un cadre idyllique demandé par Stéphanie, désireuse de voir grandir ses enfants dans ce milieu paisible.
Anton Manoukian : l’aîné pragmatique
Anton, âgé d’environ 20 ans, poursuit ses études à distance depuis sa chambre, un fait qui fait sourire compte tenu de la situation de confinement. Après avoir décroché son bac avec mention, il a essayé différents métiers, notamment en travaillant dans un supermarché, avant de se lancer dans la finance comme trader.
Son but ? Gagner assez vite pour continuer à vivre tranquillement dans ses montagnes préférées. Son parcours montre un jeune homme déterminé à tracer sa propre voie, loin des projecteurs et du milieu artistique paternel.
Aris Manoukian : le gamer studieux
Son frère cadet, Aris, âgé de 18 ans, se passionne pour la conception de jeux vidéo. Loin de la musique, il étudie actuellement à Montréal, mais a regagné la maison familiale durant la période de confinement. Contrairement à Anton, Aris avait plutôt envie « de déguerpir » mais a su s’adapter à la situation.
Décrit comme faisant partie de la « génération geek », il est à l’aise avec les ordinateurs et les outils numériques depuis sa naissance.
Confinement et vie familiale : des liens renforcés
André Manoukian a vécu le confinement dans sa maison en Haute-Savoie, entouré de sa femme Stéphanie et de ses deux fils Anton et Aris. Il décrit cette période comme un moment de partage et de calme étonnant.
- Le musicien a même continué à composer deux albums pendant que ses fils poursuivaient leurs activités respectives.
- Anton et Aris semblent avoir géré le confinement sans difficulté, habitués à un mode de vie numérique.
- André avoue même que ses fils sont « confinés depuis qu’ils sont nés », soulignant leur aisance avec les écrans et l’isolement.
Pas de musique mais d’autres ambitions
Malgré un père célèbre pour sa musique, Anton et Aris ne suivent pas les traces familiales en ce domaine. Leur passion ne repose pas sur les notes mais sur des secteurs variés :
- Anton s’intéresse à la finance et au trading.
- Aris se consacre aux jeux vidéo et à la création numérique.
Cette diversité illustre que, même dans une famille de musiciens célèbres, les enfants peuvent s’épanouir dans d’autres disciplines.
Résumé des points clés sur Anton et Aris Manoukian
Aspect | Détails |
---|---|
Parents | André Manoukian (musicien) et Stéphanie |
Fratrie | Trois enfants : Julie, Anton (2000), Aris (2002) |
Vie pendant le confinement | Haute-Savoie, calme, partage familial |
Études et travail | Anton : Études à distance et trader; Aris : Études en jeux vidéo à Montréal |
Traits personnels | Anton : déterminé à vivre en montagne; Aris : geek, aime créer des jeux |
Musique | Pas d’héritage musical transmis |
Pourquoi s’intéresser à Anton et Aris ?
Leur quotidien reflète la jeunesse d’aujourd’hui, habituée au numérique. Ils illustrent aussi la possibilité de grandir loin de la renommée familiale. Les témoignages d’André Manoukian montrent une famille soudée, qui a traversé la crise du confinement avec sérénité.
Anton et Aris démontrent qu’on peut être fils d’une célébrité sans forcément marcher sur ses pas. Leur vie professionnelle et personnelle en témoigne.
Points essentiels à retenir
- Anton et Aris Manoukian sont les deux fils d’André Manoukian et de Stéphanie.
- Ils ont grandi en Haute-Savoie, dans un cadre calme au pied du Mont-Blanc.
- Le confinement ne les perturbe pas ; ils sont habitués à la vie numérique.
- Anton est trader, Aris étudie la conception de jeux vidéo.
- Ils ne partagent pas le don musical de leur père.
- Ils vivent en famille, avec une attitude posée envers les défis actuels.
Anton et Aris Manoukian : Portrait d’une Génération Haute-Savoisienne en Confinement
Anton et Aris Manoukian sont les deux fils d’André Manoukian, figures exemplaires de la génération née avec les ordinateurs, cools et adaptés au confinement, mais aussi au charme montagnard. Ces jeunes hommes illustrent une autre facette des Manoukian : loin de la musique, passionnés par la finance et les jeux vidéo, ils vivent un quotidien à la fois simple et ambitieux. Entrons dans leur univers.
Anton, l’aîné, a 20 ans. Fraîchement diplômé du bac avec mention, ce garçon a déjà exploré le monde du travail en faisant ses armes dans un supermarché avant de devenir trader – un domaine qu’il maîtrise avec un certain talent. Son profil ne ressemble pas vraiment à celui d’un musicien, quoiqu’il s’intéresse à des passions plutôt modernes comme le chant et la musique urbaine. Aris, son jeune frère de 18 ans, se consacre aux études de conception de jeux vidéo à Montréal, mais a décidé de faire escale dans la Haute-Savoie familiale lors du dernier confinement. Ce retour a été un soulagement… mais aussi source d’un petit désaccord intérieur : Aris rêvait de quitter le nid au moment même où la pandémie frappait.
Un Confinement à l’Air Pur : Le Mont-Blanc en Toile de Fond
Quel est donc ce secret qui permet à la famille Manoukian de vieillir presque sereinement ? Simple : l’environnement. Installés en Haute-Savoie, au pied du Mont-Blanc, ils vivent dans un décor de carte postale où l’air pur a une saveur presque thérapeutique. André Manoukian, musicien et patriarche, compose ses albums loin du tumulte des grandes villes, entouré de sa femme Stéphanie et de ses enfants. Ce cocon familial a bufféré la famille contre le stress du confinement.
Au magazine Gala, André partageait sa tranquillité : il compose, ses enfants poursuivent leurs études en ligne, et la famille profite du calme montagnard avec une sérénité déconcertante. Ce choix de vie est d’autant plus symbolique que Stéphanie a souhaité que leurs garçons grandissent dans ce cadre idyllique. « Nous y allions déjà en vacances », explique André, « alors pourquoi ne pas en faire leur terrain de jeu quotidien ? »
Pas de Transmission Musicale, mais des Passions Bien Modernes
Un fait amusant : aucun des enfants d’André n’a hérité de sa fibre musicale. On pourrait s’attendre à des petits prodiges du piano ou de la composition, mais non. Anton et Aris évoluent dans des voies totalement différentes.
Anton, avec son orientation vers la finance, incarne le self-made man millennial. Son rêve ? Réussir vite pour pouvoir continuer à vivre en montagne, ce sanctuaire qui lui offre équilibre et inspiration. Travailler dans la bourse tout en contemplant les sommets enneigés, on peut difficilement faire plus typique du jeune trader montagnard.
Aris, lui, incarne la passion digitale. Loin des montagnes pendant ses études à Montréal, il ambitionne de contribuer à l’industrie des jeux vidéo. Ce secteur en pleine expansion mêle technologie et créativité, pilier économique de la génération « geek » dont il est issu. Pas étonnant alors qu’André le qualifie lui et son frère de « génération geek », testés au confinement depuis leur naissance devant leurs écrans.
Confinés, Oui, Mais Pas Désemparés
La période de confinement a été, pour beaucoup, une épreuve. Pour Anton et Aris ? Une sorte de prolongement naturel du quotidien qu’ils connaissent bien. Dans une interview donnée à France Dimanche en juillet 2021, André expliquait que ses fils étaient « de la génération geek, nés avec des ordinateurs… ils sont confinés depuis qu’ils sont nés ». Cela donne un tout autre éclairage sur leur comportement face à la pandémie.
Pour Anton, confiné dans sa chambre en Haute-Savoie, poursuivre ses cours à distance est presque une routine. Deux ans déjà qu’il étudie au rythme de la technologie. Quant à Aris, bien qu’ayant eu envie de « déguerpir » au début de la pandémie, il a fini par apprécier ce retour aux sources, partagé avec sa famille et l’air pur des montagnes.
Famille et Partage : la Force d’un Clan
Le noyau de la famille Manoukian ne se limite pas à André, Stéphanie, Anton et Aris. Il y a aussi Julie, la sœur aînée, réalisatrice née en 1982 issue d’une précédente union d’André, et le petit Ethan, son fils de 14 ans, neveu des deux jeunes hommes. Ce maillage intergénérationnel offre des repères solides à tous, surtout en période d’isolement sanitaire.
André insiste sur ce détail : « Avec tout ce que nous traversons, c’est dans la famille et la créativité que nous trouvons refuge. » Le confinement n’a certes pas marqué une rupture dans leur quotidien, mais une continuation de ce qui fait le ciment de leur vie : le partage, la passion, et ce terroir montagnard imprégné de sérénité.
Le Choix d’une Vie Simple et Authentique
Pourquoi revenir vivre en Haute-Savoie quand on a le monde à ses pieds ? C’est la question qui se pose avec évidence pour Anton et Aris, surtout quand leurs domaines d’études ou leurs emplois pourraient les emmener loin. Mais ce retour aux racines, ce cadre naturel et familial leur apportent stabilité et équilibre.
Cela révèle beaucoup sur leurs aspirations. Anton veut réussir rapidement pour s’ancrer dans cette région. Aris, bien que fasciné par la vie urbaine de Montréal, sait qu’il peut toujours compter sur la montagne comme point d’ancrage. Voilà un paradoxe générationnel intéressant : la technologie pour grandir, la nature pour s’épanouir.
En Conclusion : Une Nouvelle Génération Manoukian qui Se Réinvente
Anton et Aris Manoukian témoignent d’une jeunesse qui ne suit pas forcément les traces de leurs parents, mais crée son propre parcours avec détermination et créativité. Pas de flonflons musicaux chez eux, mais une passion pour la finance, le numérique et un profond attachement à leur terroir montagnard.
Dans un monde bouleversé par le confinement et le télétravail, leur expérience offre un miroir à cette nouvelle génération de jeunes adultes qui mêlent digital et nature, ambitions professionnelles et choix de vie sereins. Leur vie au pied du Mont-Blanc, loin des distractions urbaines, illustre avec clarté comment équilibre et réussite peuvent coexister harmonieusement.
Alors, quelles leçons tirez-vous de cette famille ? Peut-on imaginer que pour les jeunes d’aujourd’hui, la réussite ne se mesure plus qu’en titres ou diplômes, mais aussi en qualité de vie ? Et vous, seriez-vous prêts à troquer la ville pour la montagne, même quand le monde est à portée de clics ?
Qui sont Anton et Aris Manoukian ?
Anton et Aris sont les fils d’André Manoukian et de sa femme Stéphanie. Anton est né en 2000, Aris en 2002. Ils vivent en Haute-Savoie avec leur famille.
Comment Anton et Aris ont-ils vécu le confinement ?
Selon leur père, ils sont habitués à rester à la maison et ont bien supporté le confinement. Anton et Aris sont considérés comme une génération « geek », familiarisée avec le numérique depuis leur enfance.
Quels sont les projets professionnels d’Anton ?
Anton a obtenu son bac avec mention. Il a travaillé en supermarché avant de se former au métier de trader, secteur qu’il maîtrise avec talent. Il souhaite gagner assez pour vivre dans les montagnes.
Qu’étudie Aris et où est-il ?
Aris, 18 ans, étudie la conception de jeux vidéo à Montréal. Pendant le confinement, il est retourné vivre en famille.
Les enfants Manoukian ont-ils hérité du talent musical de leur père ?
Non, aucun d’eux n’a suivi la fibre musicale d’André Manoukian. Ils se développent dans d’autres domaines, comme la finance et les jeux vidéo.