David Abiker vie privée : un papa moderne entre ados et écrans
David Abiker, journaliste et animateur à Europe 1, mène une vie privée largement cachée, et pourtant, il s’ouvre parfois sur son rôle de père dépassé par les défis numériques et générationnels. Ce « grand bavard » délaisse souvent son intimité, préférant parler du monde que de lui-même. Pourtant, sa vie familiale révèle un homme entre amour paternel et défis modernes.
Vie de père comblé, mais dépassé par ses adolescentes
David Abiker, papa de deux filles âgées de 12 et 16 ans, admet se sentir « un peu largué au pays des ados ». Devenu père « un peu tard » à 47 ans, il partage son quotidien rythmé par les conflits classiques autour des téléphones et ordinateurs :
- « Je passe ma vie à les engueuler et à planquer les téléphones et les ordinateurs ! »
- Il avoue avoir adoré pouponner au début, mais la pré-adolescence chamboule tout.
Son rôle s’apparente à celui d’un « vieux père » face à des adolescentes qui l’obligent à repenser son autorité avec la technologie omniprésente.
Un couple solide face aux hauts et bas
Sa vie de couple avec Eugénie, sa femme, semble solide malgré le rythme effréné de David. Ensemble, ils jonglent entre engagements professionnels et éducation familiale. La disparition de son père en 2014 a marqué un tournant, avec un souvenir d’un cadeau insolite faisant le lien entre émotions et vie quotidienne :
« Au retour de l’enterrement, mes filles m’ont demandé un chien. Au départ, je refusais, trop contraignant. Puis, je me suis laissé convaincre. »
Ce chien, un Cavalier King Charles, a redonné de la joie à la maison et détendu tout le monde, selon le journaliste. Il partage régulièrement des photos sur Instagram, où ses portraits costumés côtoient ceux de son fidèle compagnon.
Égalité et syndrome de la mère parfaite
David Abiker se considère en faveur de l’égalité des sexes, tout en admettant ses propres biais machistes inconscients. Il observe un phénomène préoccupant dans la société moderne :
- Les mères s’imposent parfois un niveau de perfection irréaliste.
- Le « syndrome de la culpabilité maternelle » crée une pression forte autour de l’éducation.
- Cette quête de perfection enferme les femmes et empêche un partage naturel des responsabilités.
Il témoigne avoir vu ce perfectionnisme à l’œuvre dans son propre environnement familial. Pour lui, la répartition des rôles dans la famille peut gagner en souplesse.
Lutte contre la tyrannie des écrans
Ironie : David, défenseur du numérique et actif sur les réseaux sociaux, redoute les écrans pour ses filles. Il critique la surexposition aux smartphones et tablettes dès le plus jeune âge :
- « La connaissance et le génie ne naissent pas des ordinateurs », souligne-t-il.
- Il craigne un futur où la pensée structurée serait remplacée par une consommation passive des écrans.
- Sensibiliser ses filles aux arts, musées et livres papier est son pari.
La cuisine familiale est son arme secrète pour éloigner tout le monde des écrans. Autour des repas, il aime discuter projets, surtout de voyages comme le prochain road-trip de trois semaines aux États-Unis.
Vie quotidienne et astuces pour garder le lien
Pour contrebalancer la distance créée par les ados et les écrans, David mise sur :
| Solution | Effet |
|---|---|
| Un grand espace cuisine | Moment convivial pour faire décrocher iPhones |
| Chien familial | Ressouder et détendre la famille |
| Vacances en famille | Créer des souvenirs et renforcer le lien |
Malgré ses engagements publics, David Abiker montre qu’avec un peu de créativité, il reste un père présent et attentionné.
Points clés à retenir
- Père comblé mais dépassé : Père de deux ados, David lutte contre les écrans et la distance.
- Vie de couple : Un équilibre entre carrière intense et vie familiale.
- Réflexion sur les mères : Il critique le perfectionnisme maternel et plaide pour plus de souplesse.
- Lutte contre les écrans : L’accent mis sur livres et sorties culturelles.
- Vie quotidienne : Le chien et la cuisine sauvent l’ambiance familiale.
David Abiker vie privée : Entre bavardage, paternité et quête d’équilibre familial
David Abiker vie privée, c’est un univers où s’entremêlent paternité comblée et petites perplexités au pays des ados, une belle histoire d’amour avec sa femme Eugénie, des valeurs affirmées, et surtout une volonté ferme de concilier vie pro et vie perso tout en gardant un zeste d’humour et de lucidité. Mais qu’est-ce qui se cache vraiment derrière ce journaliste reconnu pour son talent de conteur et son franc-parler ?
Un papa bavard, un peu largué… et un brin tendre
Le David Abiker que vous ne connaissez pas forcément, c’est ce père de famille un peu « dépassé » par ses deux adolescentes. Il l’avoue lui-même : « Je passe ma vie à les engueuler et à planquer les téléphones et les ordinateurs ! » Une confession qui fait sourire quand on sait que David est très présent sur Instagram et Twitter. Ce paradoxe ne le rend que plus humain.
Ses filles ont 12 et 16 ans, et le journaliste ne cache pas une certaine perplexité devant ce rôle de « vieux père » qu’il endosse à peine à 47 ans. Il a adoré pouponner à la naissance, mais l’adolescence, c’est un autre univers…
Il est le cliché du papa poule : râleur parfois, mais toujours avec amour. Une scène familière ? Les engueulades contre le temps passé devant les écrans. Et pourtant, ce n’est pas un digital basher, loin de là ! David, c’est l’homme qui valorise le contact humain, la lecture sur les lèvres, et la complexité de la vraie vie, pas celle derrière un écran.
Un homme engagé dans son couple et fier de sa femme
David Abiker n’est pas juste ce grand bavard toujours en studio et plateau. Sa femme Eugénie tient une place importante, bien visible lors de leur apparition conjointe à des soirées comme celle de la Fédération Internationale des Droits de l’Homme à Paris. Une équipe soudée, un couple solide.
David évoque souvent, dans un sourire mêlé de gravité, le jour où Eugénie lui a offert un chien, après un épisode douloureux avec la perte de son père. Ce chien a amené un souffle nouveau, une bouffée de tendresse qui manquait dans la maison. Une idée simple, mais ô combien efficace pour remettre un peu de chaleur et de complicité dans le quotidien familial.
Lutter contre les stéréotypes : un macho conscient et sensible
David ne se cache pas derrière un masque : oui, il est « un macho inconscient » comme l’admettent bien des hommes. Mais c’est aussi un mari et père sensible à la cause des femmes. Il parle sans concession du syndrome de la mère parfaite, un combat qu’il observe au quotidien.
« Ce qui m’étonne, c’est le perfectionnisme que s’imposent les femmes, les standards de qualité pour élever leurs enfants », confie-t-il. Il déplore que cette quête de la perfection devienne une prison. La mère parfaite, modèle quasi inaccessible, se parfume d’obsessions : hygiène, éducation, et responsabilités. Un vrai casse-tête pour lâcher prise.
David invite à plus d’imperfection, à un partage réel des responsabilités dans l’éducation. Il voit dans cette démarche un espace possible où les pères pourraient s’affirmer davantage.
Les écrans : un ennemi public à la maison Abiker
« La connaissance ne naît pas des ordinateurs, il en faut plus pour structurer une pensée », affirme ce journaliste qui fait figure de sage dans un monde numérique galopant. Au foyer, la gestion des écrans est un combat quotidien.
Ironie du sort : David Abiker, défenseur de la société numérique, se retrouve à “planquer les téléphones et ordinateurs.” Il redoute cette omniprésence du digital, il craint une génération à la pensée fractionnée, parfois superficielle.
Il choisit donc de multiplier les alternatives : la lecture d’un vrai livre, une visite au musée, ou la projection d’un bon film. Pas question d’élever ses filles dans une bulle « googlisée ». L’important, selon lui, est de poser des perches pour un héritage culturel solide, loin du simple scroll infini sur les écrans.
Un foyer qui retrouve son unité autour d’un bon repas et d’aventures familiales
Pour contrer les effets isolants de la technologie, David a investi dans une grande cuisine à la maison. L’idée est simple et terriblement efficace : rassembler la famille autour d’un bon repas, créer des moments de convivialité non connectés.
Les sujets de discussion ne manquent pas, mais celui qui revient toujours est… les prochaines vacances. Un road-trip familial de trois semaines aux États-Unis est au programme. Un voyage tel un rituel moderne pour ressouder toute la tribu.
On imagine déjà les fous rires, les découvertes, mais aussi les petits conflits inévitables… C’est ça aussi, la vie de famille Abiker, un mélange de chaos contrôlé et de complicité.
L’adoption d’un compagnon à quatre pattes, la clé d’un apaisement
Le chien adopté sur un coup de cœur — ou plutôt pour « faire face à cet âge moins tendre » — a transformé la dynamique familiale. Ce Cavalier King Charles apporte joie et détente, au point que ses portraits inondent désormais le compte Instagram de David, côte à côte avec ses selfies costumés qui font sa réputation.
Ce compagnon poilu est un médiateur affectif, un colosse de douceur qui ramène les esprits à la fête et aux câlins. Un choix qui prouve qu’on peut, avec simplicité, retrouver le bonheur dans les petites choses du quotidien.
Finalement, qui est David Abiker quand la caméra s’échappe ?
C’est un homme qui aime parler des autres, mais aussi, avec pudeur, de lui-même. Le portrait d’un papa parfois dépassé, mais engagé, d’un mari attentif, d’un citoyen conscient des enjeux sociétaux. Quelqu’un qui rit, réfléchit, râle, mais surtout qui aime profondément sa famille.
À travers ses anecdotes et ses combats, il nous rappelle que la vie privée, même de ceux qui paraissent sous les projecteurs, reste un voyage fragile, fait de hauts et de bas, d’essais et d’erreurs, et surtout d’amour inconditionnel.
Quelques questions pour vous…
- Est-ce que la gestion des écrans chez vous ressemble à cette bataille frénétique que mène David ?
- Comment conciliez-vous vie privée et vie professionnelle ? Êtes-vous comme David, parfois un peu « largué » ?
- Que pensez-vous du syndrome de la mère parfaite ? Est-il temps de laisser plus de place à l’imperfection ?
- Et vous, avez-vous déjà ressenti le pouvoir d’un chien dans la dynamique familiale ?
David Abiker, à travers sa vie privée racontée avec tendresse et humour, invite chacun à revisiter ses relations familiales avec moins de pression et plus de bonheur simple. Un excellente leçon pour tous.
1. Comment David Abiker décrit-il sa relation avec ses filles adolescentes ?
David Abiker se voit comme un père un peu dépassé. Il confie qu’il passe beaucoup de temps à gronder ses filles et à cacher leurs téléphones et ordinateurs.
2. Quel est le rôle du chien dans la vie familiale de David Abiker ?
Le chien a apporté de la joie et détendu l’atmosphère à la maison. Il a aidé à recréer des moments de câlins et de fête en famille.
3. Quelle est la vision de David Abiker sur l’usage des écrans par ses enfants ?
Il craint que les écrans n’empêchent un vrai développement intellectuel. Il préfère leur offrir des livres et des expériences culturelles loin du tout numérique.
4. Comment David Abiker aborde-t-il la question de l’égalité homme-femme dans sa vie privée ?
Il se considère sensible aux causes féminines, mais admet en même temps avoir des attitudes machistes inconscientes, comme beaucoup d’hommes.
5. Quelles activités favorisent les moments en famille selon David Abiker ?
Il mise sur les repas en famille et les voyages, notamment un road-trip aux États-Unis, pour renforcer les liens et faire décrocher tout le monde des écrans.
