Se lever un dimanche matin et apprendre la mort de Tobe Hooper… Je peux difficilement cacher avoir toujours été un peu perplexe face à la filmographie de Hooper, entre catastrophes industrielles (The Mangler, Crocodile), réalisations moyennes (Les Vampires de Salem, Mortuary)… et chefs d’oeuvre. Combien de fois ai-je simplement regardé Massacre à la tronçonneuse ? Il y a belle lurette que j’ai cessé de compter. Sans oublier Eaten Alive, pendant nocturne de Massacre, qu’il réalisera deux ans plus tard. Tobe Hooper a énormément donné au cinéma d’épouvante. Oublier son nom serait une terrible injustice.